Le pays des enfants fous

Chère amie, cher ami,

Cette semaine, jeudi 17 février, j’ai eu la chance d’écouter le Conseil Scientifique sur la plateforme « crowdbunker »[1] et je suis passé, avec une grande émotion, de la colère à la tristesse en écoutant Marie-Estelle Dupont. Habituée des plateaux télé de LCI et CNEWS, elle est psychologue clinicienne, spécialisée en psychopathologie, psychosomatique et formée en psychologie transgénérationnelle. Elle suit des patients de l’adolescence jusqu’à la fin de leur vie pour des troubles aussi divers que des dépressions ou des addictions.

Voici ce que j’ai retenu de son propos : c’est à partir du mois d’août 2020, au retour de vacances, après le premier confinement, que Marie-Estelle Dupont constate les premiers dégâts psychologiques : des troubles anxieux, une augmentation de la consommation de benzodiazépines, d’alcool, de cannabis et de tabac. Les gens prennent du poids et dorment de plus en plus mal. Le télétravail désynchronise les horloges biologiques, provoquant des troubles du sommeil. En septembre 2020, elle se retrouve contrainte de proposer l’hospitalisation à six fois plus de patients que d’habitude.

Les médecins commencent à voir l’impact des mesures sanitaires sur la santé. Ils manifestent un déni total du lien humain, sans comprendre l’impact de ces mesures. Ce sont les jeunes qui portent les angoisses des adultes. Parce que ces derniers n’arrivent pas à gérer leur peur du virus, ils demandent aux jeunes de renoncer à leurs besoins vitaux et, afin d’être de bons citoyens – mais des ados en mauvaise santé –, de ne pas quitter leur chambre, de rester chez papa et maman, de ne pas faire de sport, de ne pas aller en cours, de rester figé face à leur écran alors que, depuis des années, on leur dit le contraire… etc.

En février 2021, arrivent des chiffres de la société de pédiatrie qui confirment une augmentation drastique des admissions en psychiatrie. C’est la vague des défénestrations d’enfants entre 7 et 11 ans, ce qui n’est en principe pas du tout un âge où on se suicide.

La souffrance est passée des adultes aux enfants, puis aux bébés. En libéral ou à l’hôpital, on constate une augmentation de 600 % des admissions en pédopsychiatrie. Cette vague n’a jamais diminué depuis : 22 % de points de QI en moins chez les enfants. La psychologue constate, de même que tous les professionnels de la petite enfance, qui sont des milliers, et le collectif de santé pédiatrique, des retards de parole très importants chez les bébés. Parce qu’un bébé apprend à parler en imitant les mouvements de la bouche. Mais comment faire s’il est à la crèche de huit heures du matin à 6 heures du soir avec des adultes qui portent un masque ? Lorsqu’il arrive en école maternelle, son champ lexical est terriblement appauvri. Ce sont parfois des enfants qui arrivent en maternelle en ne parlant pas. Selon Marie-Estelle Dupont, 100 % des enfants sont gênés par le masque, 82 % présentent des troubles physiques comme des maux de tête, et 67 % des changements de comportement. Ce sont des enfants qui viennent en consultation avec des troubles de l’humeur qu’ils n’avaient pas avant, comme des tocs, des phobies sociales, des phobies alimentaires.

« J’ai dû expliquer à une petite fille que, oui, elle pouvait toucher son cartable même si sa mère ne l’avait pas désinfecté », révèle la psychologue. On est en train de mettre dans la tête de cette génération qu’il faut avoir des pensées magiques, des troubles obsessionnels qui, pour un clinicien, sont de l’ordre de la pathologie mentale et de la réaction à l’angoisse de mort. Alors qu’en tant qu’adulte, on devrait éduquer nos enfants à la condition humaine, qui implique que se toucher n’est pas dangereux, et même que se toucher stimule l’immunité.

On leur fait croire que c’est normal de se faire enfoncer des bâtonnets dans les orifices, qu’ils pourront être vaccinés avec l’accord d’un seul de leurs parents ou même de n’importe quel adulte accompagnant l’enfant. C’est une complète banalisation d’un acte médical qui chosifie le corps. On est en train de mettre dans la tête des petits que leur corps est juste un morceau de pâte à modeler manipulable, et peut-être même la propriété de gens qui ne le connaissent pas.

Parfois, l’enfant culpabilise du fait que le masque lui donne envie de vomir, le conduisant parfois à la spasmophilie.

On essaie de mettre l’enfant dans une petite boîte, ce qui ne peut que le rendre fou !

Ce qui est effrayant, c’est que la société coche toutes les cases de la famille toxique : on isole, on obsessionalise la circulation virale en parlant toujours de la même chose, on accorde des bons et des mauvais points, sans comprendre que ce dont un enfant a d’abord besoin, c’est bouger, échanger, rire, comprendre, écouter, toucher et voir.

Que penser de ces enseignants, se découvrant brusquement une vocation de « petit chef », qui vont jusqu’à scotcher le masque sur la figure des enfants ou dessiner à la craie des ronds dans la cour de l’école afin que personne ne se touche ?

On a renoncé à nos valeurs les plus fortes, celles qui n’ont pas de prix, pour se soumettre et obéir à une autorité supérieure qui ne nous propose que de pouvoir consommer dans la plus illusoire sécurité.

Ne serait-il pas temps de se reconnecter à son corps, à son environnement, à la nature, et de se demander, pour soi-même et pour ses enfants, si l’intérêt de la vie ne se réduit qu’à un besoin primaire alimentaire ou de confort ?

Est-cela élever un enfant ? Lui faire penser – et si on réfléchit c’est vraiment atroce – que s’il ne porte pas le masque ou n’est pas vacciné, il risque de tuer ses grands-parents ?

Ce 17 février, de nombreux pays abandonnent bon nombre de mesures sanitaires, alors que la France ne se contente que d’ouvrir les boîtes de nuit. Quel pas en avant !

Israël, le pays le mieux vacciné du monde, abandonne le pass vaccinal, et d’autres pays européens comme la Suisse, en font autant.

Qu’attendons-nous ?

Qu’attendons-nous pour changer ce pays des enfants fous ?

Docteur Dominique Rueff




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


16 réponses à “Le pays des enfants fous”

  1. JEAN LAVENIR dit :

    A partir du moment où il y a une grosse conspiration des riches de ce monde pour éliminer une partie de la population mondiale, êtes vous étonnés des résultats ? Enfants, ado, jeunes …. 3ème âge, (en passant par les futurs maman) il faut en faire disparaitre le plus possible.
    c’est tout.

  2. edith texier dit :

    Quel constat négatif! La critique est facile.
    Quelle note d’espoir ? Quelles aides? Quelles actions pour aider les parents qui n’ont pas pu aider leurs enfants?

  3. Hubert Gallée dit :

    Bonjour
    Je suis complètement d’accord avec vous et votre appel mérite d’être entendu. Le point de blocage est la montée en puissance d’un système totalitaire et ce genre de système froid et sans cœur s’attaque aux enfants. La question est alors de savoir comment on s’attaque au mal absolu? il faut résister bien sûr et la meilleure façon est de faire ce qui est à l’opposé du mal absolu, tout en se connectant au bon absolu qui se trouve en soi-même. Quiconque qui le cherche trouvera comment faire, et quiconque l’écoute en soi-même trouvera la force de le faire, au-delà de toute limite. D’autres cherchent à faire comme vous.
    Bon courage

  4. Bec Michèle dit :

    Bonjour docteur
    Je suis le SCI depuis quelques semaines, leurs analyses m’apportent un éclairage sur la situation.
    L’analyse de M. E. Dupond m’a bouleversé.
    Je suis mère et grand mère, je vois quelles angoisses se sont développées chez nos petits, malgré toutes nos attentions. Que pouvons-nous faire ?
    Comment aider nos petits ? Merci pour vos conseils

  5. Joëlle Daries dit :

    Merci pour ce rappel cher docteur,
    Hier j’écoutais avec effroi le direct de l’association Les mamans louves « nos enfants au coeur ». La détresse est infinie qui déteint des adultes vers les enfants. Devant la maltraitance organisée par l’Etat il n’y a pas d’égalité. Des parents aimants, des enseignants bienveillants osent défendre contre la loi les jeunes qui leur sont confiés (les autorisent à sortir, à baisser le masque,…). Je ne peux voir dans la situation qu’une expérience de Milgram à échelle mondiale. Etat, médias, achetés par les laboratoires, ils maltraitent les corps et les âmes, aidés par la police qui ne se soucie plus de la délinquance. Sachant qu’on ne reconnaît chez l’autre que ce qu’on connaît déjà quel sain d’esprit aurait pu imaginer pareille malveillance et pareil acharnement. Chanceux sont ceux qui vous lisent depuis « avant », ceux alertés par leur médecin peut-être suspendu depuis, mais nous sommes quand même tous humainement liés, pris dans les mailles émotionnelles de la nasse. La psychologie du totalitarisme décrite par Ariane Bilheran a été reconnue dans la valse des consignes, dans la personne d’un ministre de la Santé aboyant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, dans celle d’un président du Conseil Constitutionnel, dernier rempart en conflits d’intérêts, qui a signé la fin de la Démocratie. Quelle sortie ? Dans que état ? Dans quel Etat ?

  6. Otto Catherine dit :

    Il faudrait que tout cela puisse enfin briser la glace de ces plateaux télé qui diffusent et entretiennent la Peur… Quand les gens cesseront-ils d’être obéissants et d’abonder dans le sens de l’oppression en y incluant leurs enfants?
    Nous sommes normalement des êtres responsables dotés de réflexion et capables d’amour…alors pourquoi? au nom de quoi? acceptons-nous tout, sans mise à distance, sans révolte?
    C’est dans cette expérience de deux années ce qui me consterne, m’afflige le plus c’est que presque tout le monde agit comme des moutons au lieu de défendre le droit de choisir pour son corps et celui de ses enfants…au nom d’une fausse liberté agitée comme un chantage…au nom d’une formule magique inoculée sans qu’on sache ce qu’elle contient et qui n’est qu’un mirage de protection puisqu’elle n’immunise pas! Sommes-nous déjà tous téléguidés?
    Toute ma compassion va à ces êtres en devenir abîmés par notre défaut de jugement, notre inconscience et notre irresponsabilité….

  7. Sébastien dit :

    Depuis le début de cette crise, je dis que le virus est une maladie mentale. Plus on avance et plus mais conviction semble réel.
    Faire souffrir des enfants je trouve cela ignoble de la part des parents et des professeurs pour quoi ! Sauver leur vie ? Ils finiront de toute façon par mourir un jour.
    Comme j’aime bien cette citation je vais la redire. La peur de mourir n’empêche pas de mourir mais par contre de vivre.

  8. Marylene BIEWESCH dit :

    Bahou ! Probablement les élections…résignés comme l est devenu le peuple de France…et chacun qui en rajoute une couche pour se montrer encore plus obéissant comme un bon petit citoyen…Malheureusement ce sont les tous petits qui en pâtissent le plus…éponges émotionnels qu ils sont…et les arguments des gouvernements sont ceux de la peur…de la perte de confiance en soi…de la perte de repères,de modèle,de perspective d d’avenir…la perte de l l’affection …des câlins du soir…des repas de famille…d activités sociales et autres. Des obligations vaccins…11,12,13… alors que les produits sont controversés…et les effets pervers non contrôlés. C est le nouveau monde de la perversion…et de la terreur. Il est évident qu’il faut que cela, l enfer dictatorial sous couvert du sanitaire,s arrête vite …effaçons le tableau sordide…et retrouvons notre équilibre. Plus,c’est trop ! Et déjà trop…! Atoutcoeur citoyens

  9. BERGEZ CHANTAL dit :

    Je suis d’accord avec vous. C’est effrayant ce qui se passe pour les enfants. Mais ce ne sont pas seulement les enfants qui deviennent fous, les adultes aussi. je connais un petit garçon qui s’est fait punir pour avoir osé respirer un moment parce que depuis ces mesures stupides, il fait de l’asthme.
    Dans la rue, on ne se regarde plus comme si le regard était contagieux.
    on va mettre du temps pour retrouver une vie normale.
    Merci pour vos lettres, espérons que nombre d’entre nous les lirons.

  10. Robert DUBOC dit :

    Bonjour Docteur RUEFF
    Enfin la lettre que j’attendais, depuis près de 2 ans : j’approuve celle -ci à 100%, dommage que votre réaction arrive si tard, cela fait des mois qu’Estelle DUPONT évoque le problème, en particulier sur ou auprès de CNEWS. Elle a même lancé une pétition avec le Dr Blachier : à ce sujet. Je ne sais pas si cette association est vraiment judicieuse, car la position de ce docteur me parait particulièrement ambigüe, à mes yeux. Bref, elle a lancé cette alerte depuis belles lurettes ! mais les docteurs, d’une façon générale, n’ont pas réagit à toutes ces maltraitances aux enfants. Honte à eux, qui ne se sont pas rebellés (face) aux ordres de leur Conseil de l’Ordre « des Médecins » ! Vous devez comprendre ce que je veux dire, certains ont formé des comités, mais c’est TOUS qui auraient dû réagir en force. Soignants, ils ne l’ont pas été, des observateurs silencieux pour la plupart, envoyant leurs patients en détresse à l’hôpital en refusant tout soins (qui existaient). Bref, les enfants, futurs adultes, vont trinquer, ils s’en souviendront, quand leurs parents seront vieux et âgés. Ils les enverront en Ehpads ! sans état d’âme, et ils auront bien raison … Tout cela par ignorance, et donc par peur , les parents (pas tous heureusement) ont faillit.
    Oui, votre lettre alarmante vient tard, mais qui l’aurait lue, il y a 1 an, sinon ceux qui utilisaient leurs neurones, et comprenaient ou voulaient comprendre l’alerte que lançaient les personnes vraiment compétentes, pas les « simili » docteurs de plateaux. vous avez évoqué les masques, mais qu’en sera-t-il des effets à long terme des v……..s sur ls enfants: vous comme moi ne seront plus là pour le constater – j’ai 76 ans – , l’avenir n’est pas réjouissant déjà dès maintenant !
    Désolé d’avoir été si long, et si sévère dans mes propos, il fallait que ça sorte.
    Peut être à une prochaine réaction – Bien cordialement – RD ou DR

  11. Margenstern dit :

    Vous avez raison de rapporter les propos de la doctorese Marie-Estelle Dupont. Ce qui est infligé aux enfants est inacceptable, je suis tout à fait d’accord. Par contre, stigmatiser les enseignants, je ne suis pas d’accords. Il y en a parmi eux qui ont une mentalité de petit chef et c’est inadmissible. Mais ils sont une minorité. La mentalité de petit chef se retrouve dans toutes les professions, médicales comprises, il serait bon de le dire. Que dire aussi de ces restaurateurs (minoritaires, il me semble) qui se réjouissent de contrôler le pass des clients qui veulent entrer dans leur établissement. Tout le monde n’a pas cette mentalité qui est à déplorer et qui n’est pas propre à une profession.

  12. Pasquet Hervé dit :

    Je pense que si la vaccination avait été plus massive et spontanée pour tous les adultes cela aurait grandement soulagé les enfants
    Comme je l’ai compris et beaucoup de mes proches ,le pass vaccinal a été mis en place pour faciliter la vaccination,,,par des mesures à la fois contraignantes et pédagogiques
    Que ces mesures sanitaires aient pu causer de gros problèmes aux enfants ,,,c’est certain …
    Il convient à mon avis de leur expliquer le plus clairement possible que leurs efforts ont permit de sauver un très grand nombre de vies ..
    Bien cordialement

    Hervé Pasquet

  13. Grafteaux dit :

    Bonjour,
    Ne serait-ce pas aussi le « parapluie » qu’utilisent habituellement tous les technocrates censés avoir des « responsabilités », méthode utilisée de plus en plus dans le monde des entreprises, des politiques et maintenant médicaux, pour tenter de se protéger eux-mêmes des reproches et attaques qu’ils pourraient subir et affronter, mais cette attitude peut avoir des effets pervers…
    AG

  14. Vincenti dit :

    Bonjour et merci pour cette lettre. Je déplore moi aussi de la lire maintenant mais je suis surtout dans l’incompréhension totale devant la soumission des français, la docilité des enseignants et je constate que bien des parents n’ont pas pu ou su comprendre qu’on a toujours le choix… nous avons sacrifié une génération !! Alors au lieu de continuer comme des ânes à accepter le maintien du passe vaccinal mettons les budgets au service de nos enfants, essayons au moins de leur expliquer ce qu’il s’est passé, notre surprise, notre ignorance et notre désarroi parfois. Comme le font les parents aimants, reconnaissons nos erreurs et même notre lâcheté… mais combien de parents ont-ils cette maturité ? J’ai 62 ans et j’espère que si ça continue, la révolte grondera !

  15. desclosayes dit :

    bravo docteur vous traduisez parfaitement ce que je pense depuis plusieurs mois et quand je pense à tout ces pauvres gosses que les adultes ont été incapables de protéger, par trouille tout simplement , j’en suis malade quelle honte!j’ai 73 ans et je n’aurai jamais demandé à mes petits enfants de se faire vacciner pour soi disant me protéger alors que mon système immunitaire a su faire son boulot, nous vivons dans un grand asile d’aliénés

  16. Mairet dit :

    Bonjour,

    Votre courrier est criant de vérité.
    Je suis professionnelle de la petite Enfance et assiste aux effets néfastes du port du masque auprès deux..
    Il est évident que cela peut provoqué un retard de langage et bien d autre problématique a plus ou moins long terme.
    Une circulaire de nos supérieurs hiérarchiques  » ville de Paris  » mentionnait que le port du masque ne perturbait en aucun cas l élocution chez le jeune enfant .
    Je vous laisse imaginer nos réactions d incompréhension et de colère .
    Et bien entendu les mêmes réactions pour toutes les mesures que nous ont imposés le gouvernement face à l épidémie.
    Cordialement.

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