Connaissez-vous l’algue klamath ? Première partie

Chère amie, cher ami,

Comme vous, il y a peu, j’aurais répondu non. Jusqu’au moment où j’ai reçu le témoignage de Georges.
Georges est un vieil ami qui vient de traverser une période difficile. En plus de son diabète insulinodépendant et de ses douleurs articulaires, il a fait, en deux ans, plusieurs accidents vasculaires cérébraux et, pour finir, une péritonite.

Nous devions nous retrouver en début d’année pour en discuter, quand il m’a dit : « Non, Dominique, ne viens pas, je suis épuisé et j’ai depuis plusieurs mois des saignements dans les urines et donc une anémie qui m’épuise. »

Sur mes conseils, il fait alors pratiquer un uroscanner qui révèle une masse intra-vésicale suspecte, dont il se fait opérer en février 2022.

C’est à ce moment-là qu’il m’envoie le témoignage suivant, que je vous retranscris tel quel :

« Ce matin-là (on était octobre 2019), je ressens une légère insensibilité au niveau de la commissure droite de ma lèvre, l’équivalent d’une petite anesthésie dentaire. Rien de bien méchant. Mais au bout de quelques secondes, mon pouce droit devient à son tour lourdement insensible. Cette fois-ci, le signe m’alerte … Une heure plus tard, je suis aux urgences, point de départ de deux années de galères de santé. Après examen et IRM, le diagnostic tombe : AIT[1]… et nécessité urgente d’une intervention chirurgicale sur une carotide.

Quelques jours plus tard, tout se passe merveilleusement bien. Ouf ! En réalité, ce n’était que le début d’une longue série de « problèmes » physiques dont je passerai les détails, mais qui m’ont tout de même amené à subir plusieurs interventions chirurgicales critiques.

Outre la Covid, pour moi deux années de lourdes épreuves morales et physiques passées avec le soutien permanent de ma femme toujours présente à mes côtés. En ce début d’année 2022, je vois enfin le bout du tunnel : je remarche pratiquement normalement, je reprends goût aux choses simples d’une vie redevenue presque normale, à l’exception d’une fatigue physique importante qui m’interdit encore tout effort intense. Après tout, il faut sans doute du temps pour que le corps reprenne ses droits. Alors patience !

Pourtant, malgré ces progrès spectaculaires, depuis quelques mois (octobre 2021) j’avais remarqué des urines colorées et odorantes. Progressivement, celles-ci sont devenues rosées puis rouge sang, jusqu’à ce que des caillots, toujours plus importants, apparaissent dans le flux. Nouvelle appréhension et nouvelle consultation pour, finalement, un nouvel examen… L’uroscanner montre « une lésion végétante de 2 cm de diamètre au niveau de la paroi supéro-latérale droite de la vessie, pouvant expliquer la symptomatologie clinique ». Nous sommes le 12 janvier 2022. Une résection endoscopique de la vessie est programmée pour le 21 février. Moral au plus bas et le sentiment que tout cela ne s’arrêtera jamais.

Une amie me parle alors d’un « produit » qui pourrait peut-être m’aider. Une algue aux propriétés, semble-t-il, miraculeuses. J’en avais déjà entendu parler une dizaine d’années auparavant, sans y avoir prêté attention. Après réflexion, je me dis que, au point où j’en suis, pourquoi ne pas essayer… Il s’agit d’une algue particulière : « l’algue bleu-vert », cultivée au bord du lac Klamath dans le sud de l’Oregon aux U.S.A. Après quelques recherches sur le net, j’apprends qu’il s’agit d’un complément alimentaire. Bon. Je demande à mon amie de commander le « traitement » et attends patiemment son arrivée. Quelques jours plus tard, me voilà avec mes gélules à prendre tous les jours, matin et soir. Je m’applique évidemment… Deux semaines passent mais mes saignements, eux, ne passent pas. La date de l’hospitalisation approche. Il ne reste plus qu’une semaine à attendre soit l’intervention, soit le miracle… Et celui-ci se produit ! Un matin, je vais aux toilettes et là… stupeur, mon urine est claire. Pas la moindre trace de sang. Sur le coup, je pense avoir mal observé. Plus tard dans la journée, je fais la même observation. Depuis ce jour-là, je n’ai plus jamais eu la moindre trace de sang dans mes urines. J’ai néanmoins attendu le dernier moment pour annuler l’intervention avec, tout de même, une pointe d’appréhension. Bêtise ou pas ? Et bien non, je suis désormais convaincu de l’efficacité de cette algue extraordinaire.

Mieux encore, je continue évidemment à prendre les gélules et je remarque avec bonheur que ma neuropathie (sévère) aux jambes s’atténue de jour en jour. Je sens à nouveau mes orteils bouger. Je retrouve de la fluidité dans mes jambes et une sensation de bien-être, sensation oubliée depuis bien longtemps. Tout se passe comme si cette algue avait des effets bénéfiques sur la régénération globale de mon corps. Une merveille qui booste le moral et donne envie de persévérer ! »

À ce jour, une échographie est programmée pour vérifier l’état de sa paroi vésicale.

Qu’est-ce donc que l’algue klamath ou algue bleu-vert ?

L’algue klamath[2] (Aphanizomenon flos-aquae de son nom scientifique, appelée également « AFA ») est une algue d’eau douce (portant une cyanobactérie), qui est riche en tous les nutriments connus, en oligoéléments (molybdène, fer par exemple) et en vitamines, notamment vitamine K et du groupe B (excepté la vitamine D). Elle a une composition relativement proche de la spiruline, mais sa teneur en micro-nutriments et en acides aminés est supérieure – elle contient 20 acides aminés (notamment essentiels et semi-essentiels) dont a besoin le corps humain, et cela à des teneurs optimales. Malheureusement, son prix est deux à cinq fois supérieur à celui de la spiruline, car elle n’existe que dans un seul endroit sur la planète à l’état naturel et n’est pas cultivée. Elle est certifiée, naturelle, non polluée, non dopante et sans additifs[3].

C’est un « probiotique vivant » qui stimule de façon spectaculaire les défenses immunitaires et les mécanismes de réparation de l’organisme. Selon Brian Clement[4], directeur de l’Institut Hippocrate de West Palm Beach de Floride, « elle permet d’accroître l’immunité dans les processus de développement cancéreux, protège efficacement de la radioactivité et donne de remarquables effets positifs sur tous les processus de régénération du corps humain. »

Du nom du lac dans lequel elle se développe, la klamath est originaire de l’Oregon, aux États-Unis. Elle ne peut pas être cultivée en dehors de ce lac, contrairement la spiruline. C’est un environnement écologique unique à haute altitude qui permet à la klamath d’être exempte de toutes contaminations environnementales toxiques comme les polluants chimiques ou les métaux lourds [5].

J’en serais peut-être resté là si d’autres témoignages à propos de cette algue bleu-vert n’étaient venus me « bousculer ». Mon ami Georges n’est pas le seul à avoir rapporté des effets positifs de la klamath sur la santé. Je vous livre d’autres témoignages surprenants :

Pierrette Bongrat, une « jeune octogénaire » qui m’a autorisé à donner son nom puisqu’elle intervient en tant que mandataire sur le site synerj-health.com, par lequel Georges s’est procuré le produit, a commencé à me livrer le sien.

Il y a quelques années, très fatiguée, elle ressentit que quelque chose allait « l’arrêter ». Ce fut une voiture qui la renversa et elle se retrouva à l’hôpital avec de multiples fractures, non déplacées, mais qui nécessitaient de nombreuses opérations : fémur, col du fémur, pommette, plancher orbital. Ce qu’elle refusa. Un mois plus tard, les médecins n’en crurent pas leurs yeux : les cals se reformaient, l’ossature reprenait sa forme naturelle. Pierrette sortit de l’hôpital avec une canne et un grand sourire, puisque nous verrons plus loin que le sourire est, à priori, un effet secondaire positif de l’algue klamath. Des années plus tard, elle ne se plaint d’aucune séquelle.

Elle m’a aussi transmis quelques témoignages que je vous retranscris tels qu’elle me les a confiés :

  • Nicole a reçu en 2017 un diagnostic de cancer du sein avec cellules cancéreuses de classe 5. L’opération (biopsie) était programmée deux mois plus tard. Après prise de l’algue pendant cette période, l’examen de contrôle ne retrouva que des cellules de classe 2. Aucun autre traitement ne fut réalisé par la suite et il n’y eut aucune récidive depuis.
  • Myriam reçut le diagnostic d’un cancer basocellulaire infiltrant du dorsum nasal. Cela conduisit à plusieurs interventions (greffe, chimiothérapie). Une chirurgie réparatrice était programmée trois mois après, pendant lesquels elle prit de l’algue klamath. Finalement, l’opération fut annulée, puisque la zone atteinte s’était complètement réparée. Il ne restait qu’une légère différence de teinte de peau. Myriam continue à prendre régulièrement ses suppléments et n’a pas eu de récidives.
  • Daniel a eu un étirement et un déchirement des ligaments du pied. On lui proposa la pose d’un plâtre, qu’il refusa. On observe après prises régulières de l’algue une reconstruction rapide des ligaments et une reprise presque immédiate de la marche.
  • Denise a 65 ans. Elle est anorexique et alcoolique. Elle a une ossature mince et fragile et fait une chute violente qui provoque une double fracture ouverte du tibia péroné. Elle fait plusieurs séjours en hôpital avec immobilisation totale, mais cicatrisation et réparation restent impossibles. Après trois semaines de consommation d’algue klamath, s’amorce une consolidation osseuse. En deux mois, elle guérit totalement et reprend une marche normale.

Vous trouverez d’ailleurs sur le site https://synerj-health.com d’autres témoignages concernant des affections aussi variées que la dépression, certains cancers, la maladie de Dupuytren, la sclérose en plaques, d’autres maladies neurodégénératives ou la maladie de Lyme.

Bien sûr, il ne s’agit que de témoignages et il faut toujours les prendre avec circonspection.

Quand on analyse de près les mécanismes d’action de « l’algue bleu-vert », on observe une action sur les cellules souches (je détaillerai cela dans ma prochaine lettre), ce qui incite à ne pas la rejeter d’emblée. C’est bien ce qu’énonce la Commission d’Ethique de l’Ordre départemental des médecins de la côte d’Or (Dijon), dans son bulletin de janvier 2007 : « Nous connaissons tous des malades nous ayant rapporté les succès de confrères pratiquant une médecine étrangère à nos prérequis. Rejeter a priori ce qui nous est étranger confine à la discrimination. Ce n’est pas acceptable. »

Une attitude éthique consiste, soit à accéder à une connaissance suffisante des préceptes régissant la médecine intégrative[6], soit à adopter une politique tolérante vis-à-vis des principes que nous ne connaissons pas.

Selon Anne-Marie Piétri, auteure du livre L’aliment le plus complet de la planète[7], l’algue bleu-vert est consommée depuis des milliers d’années par certains peuples, qui en apprécient la richesse nutritionnelle et témoignent de ses multiples vertus. Reconnu officiellement comme l’aliment le plus complet de la planète, l’Aphanizomenone-flos-aquae du lac Klamath se révèle être ainsi une aide précieuse pour retrouver un bien-être et maintenir ou renforcer une santé optimale. Le recours aux algues comme remède-santé remonte à des milliers d’années. Les archives attestent que diverses espèces d’algues étaient consommées dans les 900 ans après J-C. Dans le rapport sur la conquête des Amériques, les missionnaires espagnols témoignent de la récolte d’une « boue bleue » à haute valeur nutritive sur le lac de Texcoco près de la ville de Mexico. D’autres écrits rapportent que la boue bleue servait à fabriquer du pain au goût de fromage. En Afrique, le « dihé » est le nom local donné à une algue bleu-vert poussant en quantité importante dans le lac Tchad. Dans des rapports récents de la FAO[8], il est précisé que le dihé est très riche en protéines : « La teneur en protéines dans des produits similaires est six fois supérieure à celles contenues dans la viande et dix fois supérieure à celles contenues dans la farine de soja. Il y a un bon équilibre en acides aminés, la teneur en fer est très élevée, soit dix fois plus que le fer contenu dans les céréales complètes, et c’est une source également très importante d’acides gras et de vitamine B9. »[9]

Ainsi, l’algue klamath ne doit pas simplement être considérée comme un complément alimentaire aux propriétés multiples, mais comme un véritable « super-aliment ».

Nous verrons dans la prochaine lettre quelles sont les différences entre les différentes algues que sont la klamath, la spiruline, la chlorella et la phycocyanine.

À bientôt,

Dominique Rueff


[1] L’accident ischémique transitoire (AIT) est dû, comme l’AVC ischémique, à la présence d’un caillot qui obstrue, de manière transitoire, la circulation sanguine cérébrale.
[2] En 1826, le lac est découvert par Peter Skeen Ogden, un explorateur et trappeur canadien qui travaille pour la Compagnie de la baie d’Hudson, fondée à Londres en 1670.
[3] https://synerj-health.com/Articles
[4] https://hippocratesinst.org/about-us/team/directors/brian-clement/
[5] Selon Anne-Marie Pietri, dont je vous recommande la lecture du livre L’aliment le plus complet de la planète (Editions Lanore, 2011, pages 75 à 82), les rumeurs de pollution du lac Klamath sont totalement injustifiées et ne sont colportées que par des intérêts commerciaux.
[6] https://livre.fnac.com/a5265881/Dominique-Rueff-Mieux-que-guerir-Les-benefices-de-la-medecine-integrative
[7] Ibid.
[8] L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture
[9] Rapport de la FAO de septembre 2008



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


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