Comment soulager l’endométriose et les règles douloureuses – 2e partie

Cher ami, chère amie,

Nous avons vu dans la lettre précédente ce qu’était l’endométriose, quelles en étaient les causes et quels étaient les traitements et solutions naturelles envisageables. Continuons sur cette lancée : je vous détaille dans cette lettre les compléments alimentaires qui ont une efficacité prouvée sur les douleurs de règles et les symptômes de l’endométriose.

Les compléments alimentaires qui peuvent soulager les douleurs

L’apport en Pycnogénol® pour soulager les douleurs pelviennes est primordial. Il s’agit d’extraits d’écorces de pin maritime des Landes de Gascogne (Pinus Pinaster) écoresponsables. Le Pycnogénol® est riche en procyanidines hautement antioxydantes et anti-inflammatoires : en 5 jours de prise continue, il diminue de près de 16 % le taux de NF-kB, un grand médiateur de l’inflammation.

L’efficacité du Pycnogénol® pour soulager les douleurs menstruelles, et plus spécifiquement celles engendrées par l’endométriose, a été étudiée dans plusieurs essais cliniques contrôlés[1][2]. Ce traitement limiterait la production de prostaglandines pro-inflammatoires responsables des douleurs pelviennes.

Lors d’une étude clinique réalisée sur 47 femmes[3], la prise de 60 mg de Pycnogénol® par jour pendant 48 semaines a permis de réduire les symptômes, notamment les douleurs menstruelles sévères, sans effet rebond de la douleur comme cela est observé avec les traitements conventionnels (les antagonistes de la Gn-RH comme la leuproréline) et sans affecter le taux d’œstrogènes (oestradiol) ; donc sans effets secondaires. Cinq femmes ont même dû quitter l’étude en cours parce qu’elles étaient enfin enceintes.

Une étude[4] récente a également démontré que la prise concomitante de 100 mg de Pycnogénol® (50 mg, deux fois par jour) et d’un contraceptif oral a diminué significativement les douleurs liées à l’endométriose après 3 mois, par rapport aux femmes prenant un contraceptif oral seul.

Outre le Pycnogénol, les apports en oméga-3, en resvératrol[5] et en vitamine D3 sont essentiels pour limiter l’inflammation.

Une petite étude[6] a démontré que la prise de resvératrol (10 mg/kilo/jour) permet de réduire le développement de l’endométriose grâce à ses propriétés anti-angiogéniques et anti-inflammatoires.

La vitamine D3 est désormais reconnue pour ses actions anti-inflammatoire, immuno-modulatrice et anti-prolifératrice[7]. Lors d’une étude en double-aveugle[8], la prise de vitamine D3 chez une quarantaine de femmes (18-40 ans) souffrant de dysménorrhées (douleurs des règles) a permis de réduire significativement les douleurs et la prise d’anti-inflammatoires (AINS – tels que l’Ibuprofène). Dans le groupe « vitamine D3 », aucune femme n’a pris d’AINS, tandis que 40 % des femmes du groupe « placebo » ont eu recours à ces antalgiques[9].

Même s’il n’existe pas d’études réalisées à ce sujet à l’heure actuelle, il serait intéressant d’y adjoindre du curcuma (dans l’alimentation ou en complément, comme le « Curcuma 1000 »[10]), dont l’effet anti-inflammatoire est désormais parfaitement reconnu, ou du thé vert[11] et de la NAC (N-acétyl-Cystéine) pour limiter les fibroses.

Le thé vert est reconnu pour sa richesse en EGCG (épigallocatéchine gallate), un flavonoïde antioxydant qui, selon une étude[12], aurait des propriétés antifibrotiques très intéressantes en cas d’endométriose. L’EGCG serait en effet capable d’inhiber de manière significative la prolifération cellulaire, la migration et l’invasion de l’endométriose dans l’endomètre. Il peut donc être donné en prévention et/ou en traitement de l’endométriose et même des fibromes utérins, à raison de 360 mg d’EGCG par jour. De plus, l’EGCG serait capable d’agir sur les récepteurs aux œstrogènes, et donc d’en moduler les effets. Pour une meilleure efficacité, il est conseiller de prendre les gélules de thé vert en dehors des repas pour augmenter leur biodisponibilité.

Selon une étude d’observation[13] réalisée sur 92 femmes atteintes d’endométriose au niveau des ovaires, la prise de N-Acétyl-Cystéine[14], à raison de 1800 mg par jour (600 mg, 3 fois par jour), seulement 3 jours par semaine pendant 3 mois, a permis de réduire les kystes ovariens et d’augmenter les chances de grossesse (8 grossesses sont survenues chez les patientes supplémentées en NAC).

La prise d’inositol[15], un complément alimentaire que l’on trouve facilement sur Internet, à raison d’une cuillère à café matin et soir dans un verre d’eau, permet d’améliorer le climat hormonal et les conditions de l’ovulation. Il est particulièrement indiqué chez les femmes en surpoids, ce qui est souvent lié à un hypersensibilité à l’insuline et à une alimentation trop riche en sucres dits « rapides ».

Afin d’améliorer le métabolisme hépatique des œstrogènes et limiter une hyperoestrégénie, il est souhaitable de faire régulièrement des cures de plantes à visée hépatique : chardon-Marie, radis noir, sans oublier le brocoli pour sa richesse en glucosinolates.

Pour toute femme souffrant d’endométriose ou de dysménorrhée, je conseille l’Endomenat®[16] : il s’agit d’une association synergique brevetée de Pycnogénol®, de thé vert, de diverses plantes, bourgeons et nutriments, qui permet de diminuer les douleurs et les sensations de pesanteur pelvienne. J’ai pu observer dans mon expérience que cette formulation s’est révélée très efficace sur le soulagement des douleurs. Je la recommande à raison de 2 gélules midi et soir au moment des repas.

Des plantes spécifiques pour rééquilibrer les hormones féminines

Comme l’endométriose est étroitement liée à un déséquilibre entre œstrogènes et progestérone, il est souhaitable de miser sur des plantes à visée progestérone-like, comme le gattilier (Vitex agnus castus), et ce dès le 10e jour du cycle. Cette plante permet également de diminuer les désagréments du syndrome prémenstruel[17].

En gemmothérapie, les bourgeons de framboisier (Rubus idoeus) ralentissent la sécrétion hormonale de l’hypophyse et régularisent ainsi la sécrétion ovarienne. Ils sont particulièrement indiqués dans tous les syndromes d’hyperfolliculinisme, de dysménorrhée, métrite, vaginite et donc dans les douleurs d’endométriose. Ils peuvent être associés aux bourgeons de tilleul (Tillia Tomentosa) pour calmer la douleur, de figuier (Ficus Carica) pour agir sur l’anxiété, ou de cassis (Ribes nigrum) pour diminuer l’inflammation.

À l’inverse, il faut limiter les plantes à visée œstrogène-like, c’est-à-dire riches en substances végétales qui miment l’action des œstrogènes. C’est le cas des isoflavones de soja et ceux de trèfle rouge (Trifolium Pratense), ainsi que l’Alfalfa (Medicago sativa).

N’hésitez pas, en cas de douleurs menstruelles, à mettre sur la langue une goutte d’huile essentielle d’estragon, car le méthylchavicol présent dans cette huile est l’un des meilleurs antispasmodiques connus. Pour celles qui préfèrent son goût, l’huile essentielle de basilic est douée des mêmes propriétés.

Vous pouvez aussi vous fabriquer une huile de massage apaisante avec de l’huile essentielle de bourrache, qui régule le cycle hormonal : mélangez 4 millilitres d’huile végétale avec 1 millilitre d’huile essentielle de bourrache, et massez-vous le ventre avec. Après cet automassage, n’oubliez pas de mettre sur le ventre une bouillote bien chaude.

Prenez soin de votre hygiène de vie

Prendre soin de votre hygiène de vie et de votre alimentation est essentiel pour atténuer les symptômes de l’endométriose. Voici ce que je conseille :

  • Pratiquez une activité physique plaisante et régulière ;
  • Limitez votre exposition aux perturbateurs endocriniens (privilégiez les ustensiles et contenants de cuisine inertes comme le verre, les cosmétiques naturels sans parabènes, aérez quotidiennement vos lieux de vie…) ;
  • Essayez l’acupuncture, la relaxation, le yoga, la méditation[18], la cohérence cardiaque[19]… ;
  • Utilisez une crème à la progestérone naturelle[20], du 18e jour du cycle jusqu’au 1er jour des règles, voire dès le 8e jour du cycle.

Mon protocole de compléments alimentaires

Pour terminer, voici le protocole de supplémentation que je conseille en cas d’endométriose et de règles douloureuses :

Endomenat® : 2 gélules matin et soir du 18e jour du cycle jusqu’aux règles, ou plus tôt si besoin.

– Un probiotique au moins 10 jours par mois, type Flora Intense[21]: 1 gélule par jour pour réensemencer et diversifier la flore intestinale.

En cas de résultats insuffisants, je conseille d’ajouter :

– Une détoxication hépatique qui diminuera l’hyperoestrogénie, comme Vital Detox®[22] : 2 gélules par jour, 1 le matin et l’autre le soir au cours du repas, brocoli Bio 500 mg[23] (1-3 gélules par jour) ou Silyvital®[24] (1-2 gélules avant les repas.

Si les douleurs persistent, vous pouvez rajouter du Pycnogenol 50 mg[25]: 1 à 2 gélules par jour pendant 3 mois minimum, des oméga-3[26] à raison de 1 à 4 capsules par jour, ou du resvératrol 100 mg[27] (1 gélule par jour) avec du curcuma pour limiter l’inflammation.

Et encore :

  • Des gélules de thé vert Bio 500 mg[28]: 1 gélule à jeun le matin ;
  • De la N-Acétyl-Cystéine 600 mg[29] (3 gélules par jour à répartir dans la journée) pour limiter les fibroses.
  • Du Vitex Bio 200 mg[30] (Gattilier) : 1 gélule dès le 10e jour du cycle pour son action progestérone-like et pour son rôle dans le confort menstruel, avec possibilité d’y adjoindre des bourgeons de framboisier bio pour rééquilibrer les hormones.

– Des Vitamines B Complexe 100 mg[31] : 1 comprimé par jour pour améliorer le métabolisme hormonal et pallier le manque de méthylation (une étape clef de la détoxication des œstrogènes), avec possibilité d’y adjoindre des facteurs lipotropes[32], pour l’apport en choline et bétaïne qui contribuent à la détoxification.

Pour soulager les douleurs des règles (dysménorrhées simples), je recommande :

Cannelle 500 mg Bio[33] : elle a démontré des effets antispasmodiques plus particulièrement ciblés sur les douleurs menstruelles, à raison de 2 gélules par jour[34].

Chlorella 1000 mg[35] : 1 gélule pendant 8 semaines permet de baisser les taux de prostaglandines pro-inflammatoires[36].

Inositol[37] : 1 cuillère café matin et soir dans un verre d’eau.

Gingembre bio 200 mg d’extraits standardisés[38], dont l’action été évaluée en 2012 dans une étude sur 120 étudiantes[39] : 1 gélule le matin.

Valeriane bio 300 mg d’extraits standardisés[40], qui a un effet antispasmodique démontré dans une étude sur 100 étudiantes[41] : à prendre de préférence le soir.

N’oubliez pas l’action sur les douleurs pelviennes des bourgeons de framboisier (rubus ideous), à raison de 15 gouttes de macérât-mère matin et soir.

Si vous n’avez pas d’endométriose diagnostiquée mais souffrez de douleurs pelviennes, il est important de s’assurer de votre équilibre hormonal : parlez-en à votre gynécologue. En cas de déficience en progestérone en fin de cycle, il faudra conseiller l’usage de la crème à la progestérone naturelle, du 18e jour du cycle jusqu’aux règles.

Prenez soin de vous,

Docteur Dominique Rueff


[1] Maia H Jr, Haddad C, Casoy J. « The effect of pycnogenol on patients with dysmenorrhea using low-dose oral contraceptives ». Int J Womens Health. 2014.

[2] Kapoor S. « Pycnogenol: a rapidly expanding role in the management of systemic diseases besides dysmenorrhea ». J Reprod Med. 2009

[3] Kohama T, et al. « Analgesic efficacy of French maritime pine bark extract in dysmenorrhea: an open clinical trial », J Reprod Med. 2004

[4] Maia H Jr, Haddad C, Casoy J. « The effect of pycnogenol on patients with dysmenorrhea using low-dose oral contraceptives ». Int J Womens Health. 2014

[5] Ergenoğlu AM1, et al. « Regression of endometrial implants by resveratrol in an experimentally inducedendometriosis model in rats ». Reprod Sci. 2013

[6] Dull AM, et al. «Therapeutic Approaches of Resveratrol on Endometriosis via Anti-Inflammatory and Anti-Angiogenic Pathways. » Molecules. 2019

[7] Almassinokiani F, et al. « Effects of Vitamin D on Endometriosis-Related Pain: A Double-Blind Clinical Trial ». Med Sci Monit. 2016

[8] Bahrami A, et al. « High dose vitamin D supplementation can improve menstrual problems, dysmenorrhea, and premenstrual syndrome in adolescents ». Gynecol Endocrinol. 2018

[9] Lasco A, Catalano A, Benvenga S. « Improvement of primary dysmenorrhea caused by a single oral dose of vitaminD: results of a randomized, double-blind, placebo-controlled study ». Arch Intern Med. 2012.

[10] https://www.nutrition-conseil.com/produit/curcuma-ext-standardises-95-curcumine-1000-mg-30-comprimes/

[11] Zeru AB, Muluneh MA. «Thyme Tea and Primary Dysmenorrhea Among Young Female Students». Adolesc Health Med Ther. 2020

[12] Chen X, et al. «Therapeutic effects of green tea on endometriosis ». Crit Rev Food Sci Nutr. 2021

[13] Porpora MG et al. « A promise in the treatment of endometriosis: an observational cohort study on ovarian endometrioma reduction by N-acetylcysteine ». Evid Based Complement Alternat Med. 2013

[14] https://www.nutrition-conseil.com/produit/n-acetyl-cysteine-600-mg-60-gelules/

[15] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/connaissez-vous-linositol/

[16] https://copmed.info/RDENDOMENAT

[17] Cerqueira RO1, et al. «Vitex agnus castus for premenstrual syndrome and premenstrual dysphoric disorder: a systematic review ». Arch Womens Ment Health. 2017

[18] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/mediter-pour-sa-sante-et-celle-des-autres/

[19] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/devenons-coherents/

[20] https://www.nutrition-conseil.com/produit/creme-a-la-progesterone-18-56-gr/

[21] https://www.nutrition-conseil.com/produit/flora-intense-15-gelules/

[22] https://www.nutrition-conseil.com/produit/vital-detox-avec-extrait-de-brocoli-60-gelules-vegetales/

[23] https://www.nutrition-conseil.com/produit/brocoli-bio-extrait-standardise-500-mg-60-gelules-vegetales/

[24] https://www.nutrition-conseil.com/produit/silyvital-silymarine-chardon-marie-extraits-standardises-250-mg-60-comprimes/

[25] https://www.nutrition-conseil.com/produit/pycnogenol-50mg-30-gelules-vegetales/

[26] https://www.nutrition-conseil.com/produit/super-omega-3-120-capsules/

[27] https://www.nutrition-conseil.com/produit/resveratrol-100-mg-forme-bioactive-30-gelules-vegetales/

[28] https://www.nutrition-conseil.com/produit/the-vert-bio-500-mg-30-vcaps/

[29] https://www.nutrition-conseil.com/produit/n-acetyl-cysteine-600-mg-60-gelules/

[30] https://www.nutrition-conseil.com/produit/vitex-agnus-castus-bio-200-mg-ext-standardises-de-gatillier-90-gelules-vegetales/

[31] https://www.nutrition-conseil.com/produit/vitamine-b-complexe-100mg-action-prolongee-60-comprimes-secables/

[32] https://www.nutrition-conseil.com/produit/facteurs-lipotropes-60-gelules-vegetales/

[33] https://www.nutrition-conseil.com/produit/cannelle-extraits-standardises-500-mg-80-vcaps/

[34] Jahangirifar M, Taebi M, Dolatian M. « The effect of Cinnamon on primary dysmenorrhea: A randomized, double-blind clinical trial. » Complement Ther Clin Pract. 2018

[35] https://www.nutrition-conseil.com/produit/chlorella-pyrenoidosa-1000-mg-125-comprimes-secables/

[36] Haidari F et al. « Effect of chlorella supplementation on systematic symptoms and serum levels of prostaglandins, inflammatory and oxidative markers in women with primary dysmenorrhea. » Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2018

[37] https://www.energeticanatura.com/fr-fr/produits/inositol?gclid=CjwKCAjwtfqKBhBoEiwAZuesiNdcvtaR4nBMimNT29q8mTWfcys4btxxsl1hBOS02KLG7Vbl5NFqmhoC49cQAvD_BwE

[38] https://www.nutrition-conseil.com/produit/gingembre-bio-200-mg-extrait-standardise-60-gelules-vegetales/

[39] Rahnama P, et al. « Effect of Zingiber officinale R. rhizomes (ginger) on pain relief in primary dysmenorrhea: a placebo randomized trial. » BMC Complement Altern Med. 2012

[40] https://www.nutrition-conseil.com/produit/valeriane-bio-60-gelules-vegetales/

[41] Mirabi P, Dolatian M, Mojab F, Majd HA. « Effects of valerian on the severity and systemic manifestations of dysmenorrhea », Int J Gynaecol Obstet, 2011



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


5 réponses à “Comment soulager l’endométriose et les règles douloureuses – 2e partie”

  1. Anne dit :

    Comme j’aurais aimé avoir ces informations il y a 30 ans…

  2. Laveau dit :

    Bonjour, j’espère que vous allez faire un 3eme volet…sur l’évolution de l’endométriose à la ménopause. Car cela s’avère parfois très compliqué ! Et notamment lorsque l’on souffre des symptômes désagréables et que l’on veut les gérer sans agiter l’endométriose qui ne dort pas complétement…
    Quel protocole conseillez-vous en ce cas ? La progestérone ne suffit plus… Merci par avance.

  3. Ananda dit :

    Bonjour, je ne sais pas si mon précédent commentaire a été vu car je ne le vois pas… Donc je repose le sujet : évolution du protocole à la ménopause.
    Quand l’endométriose ne dort pas complétement mais que les symptômes ménopause sont très présents ( insomnie, bouffées de chaleur, moral, douleurs articulaires, etc), la progestérone ne suffisant pas, on fait comment ? Merci de toute réponse ou lien pour un article sur le sujet…

  4. MATHILDE L. dit :

    Ces informations sont une mine d’or, un grand merci. Je souhaitais partager mon expérience en mentionnant les bienfaits anti-inflammatoires de l’huile de CBD, une découverte fantastique qui pour ma part m’a permis de réduire drastiquement mes crampes menstruelles. Atteinte d’endométriose pelvienne et digestive depuis de nombreuses années, c’est le seul remède naturel qui ait fonctionné sur moi, après moult tentatives groupées (crème de progestérone naturelle, compléments alimentaires, plantes associées à une alimentation équilibrée et à la quasi-suppression des aliments inflammatoires…). Je suis passée d’un état d’alitement de 5 heures le premier jour avec vertiges insoutenables, crispation musculaire, spasmes (intestins et utérus), gêne au rectum et sensation de ventre meurtri pendant plusieurs jours à la disparition de tous les symptômes énoncés précédemment si ce n’est la persistance d’une douleur au bas ventre mais tout à fait supportable, qui me laisse vaquer à mes occupations, chose inenvisageable auparavant. Je récupère aussi beaucoup plus rapidement. Je prends une dose quotidienne de CBD 20 % à J-2, et ce jusqu’à J2. Mon ostéopathe, que je consulte tous les mois, a pu sentir cette incroyable différence (ventre parfaitement détendu, aucun ballonnement, pas de pesanteur pelvienne) en me manipulant. De plus, le CBD fait d’une pierre deux coups puisqu’il évacue aussi l’anxiété. Je le recommande chaudement à toutes les femmes qui cherchent un soulagement !

  5. Alice dit :

    Bonjour,
    Merci pour cet article.

    En ce qui concerne le gattilier, peut-on le prendre en continue, sur plusieurs années ?

    Même question pour les plantes dépuratrices du foie, vaut-il mieux les prendre tout le temps pour aider le foie à se débarasser des oestrogènes ou seulement quelques semaines par mois, ou que quelques mois par ans ? J’ai peur de le sur-stimuler…

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