Le bilan Proteomis, un trésor de plus pour votre santé

Il y a bien longtemps que je voulais vous entretenir du bilan protéomique de CEIA.

Ne vous affolez pas devant ce terme, je vais tout vous expliquer !

Avant d’y venir je vais vous faire un peu d’historique.

Dans les années 1970, avant de finir mes études, je participais aux travaux de la Société Médicale de Biothérapie (SMB) qui était alors présidée par le docteur Julian[1].

Mes rencontres avec les docteurs Pol Henry, Jean Paquelet, André Martin et Eric Reymond m’ont rapidement convaincu que la « méthode du CEIA » (Centre Européen d’Informatique et d’Automation) allait conduire à une analyse du vivant et de l’état de santé global de l’individu tout à fait novatrice.

Le médecin belge Pol Henry fut le vrai découvreur de la « gemmothérapie » cette phytothérapie un peu particulière qui utilise la puissance thérapeutique des bourgeons de plantes. J’y reviendrai dans une autre lettre.

Ce médecin né en 1918 et décédé en 1988 fit preuve d’un grand courage et d’une énorme connaissance botanique. Dès 1970, il travaillait sur les liens entre les bourgeons et l’électrophorèse des protéines sanguines[2] et, en particulier des globulines sériques[3].

Ce travail deviendra le socle du programme informatique du CEIA.

Il visait à donner aux médecins un avis phytothérapeutique en concordance avec la biologie exprimée par le patient.

C’est avec lui que Jean Henri Paquelet, biologiste, et le docteur Eric Reymond ont jeté les bases de l’analyse du vivant par le biais de ces protéines, que l’on appelle aujourd’hui « bilan PROTEOMIS ».

Ils ont imaginé un modèle permettant de mettre en évidence l’activité thérapeutique des bourgeons (et d’autres médicaments naturels) grâce à leurs actions sur les différents tests biologiques. Ces expériences ont été menées ultérieurement par le groupe CEIA.

Nous ne connaissions pas à l’époque les ordinateurs. Les corrélations se faisaient, comme au cours de la dernière guerre, par « cartes perforées ». Le Minitel, invention française, fut une vraie révolution. Eric Reymond prophétisait que nous irions beaucoup plus loin avec les ordinateurs. Là fut son génie : il imaginait déjà ce que nous commençons à peine à maîtriser, c’est-à-dire les algorithmes et l’intelligence artificielle.

Le bilan Proteomis

Le bilan Proteomis résulte d’une série de tests pratiqués sur le sérum sanguin.

De nos jours ce sont une cinquantaine de ces globulines qui sont analysées séparément par des réactifs. Le contact du réactif avec la globuline provoque un précipité que l’on nomme « floculat ».

D’où l’expression de tests dits « de floculation ».

Le floculat est analysé par un rayon lumineux. Celui-ci mesure l’intensité de la floculation par rapport une norme standard.

Le protéome sérique ou bilan Proteomis (ensemble des protéines analysées dans le sérum du patient) est donc un reflet du système de régulation entre les différentes cellules et les différents organes.

Spécifique pour chacun de nous à un instant particulier de notre évolution (normale ou pathologique), son décryptage donne un éclairage sur :

  • les accidents de santé marquants de notre vie
  • l’ensemble de nos grandes tendances réactionnelles : dysfonctions organiques hormonales[4] (foie, reins, surrénales, thyroïde…), métabolismes perturbés (allergies, résistance à l’insuline…) ou même perturbations psychiques.

Il faut comprendre que le protéome sérique est le point de rencontre des influences génétiques et des influences environnementales sur l’organisme humain (parasites, bactéries, virus, mais aussi alimentaires et bien sûr thérapeutiques).

Vous vous demandez sans doute : à quoi cela ressemble-t-il ?

Un bilan Proteomis se présente sous forme d’une courbe en « V ».

Il est « P4 » (Personnalisé, Préventif, Prédictif et Participatif).

Le graphique représente les caractéristiques biologiques de l’individu. Il est accompagné de commentaires personnalisés destinés à aider le prescripteur à l’interpréter.

Le postulat de ce test, il faut bien le comprendre, c’est que les protéines agissent comme des mémoires biologiques de l’organisme. Ce sont nos boîtes noires. L’analyse des tests par rapport à une normalité calculée permet de décoder cette mémoire protéomique, de reconnaître les traces d’agression de santé passées.

Et donc le plus important : détecter des facteurs de risque.

En quoi consiste un bilan Proteomis ? 

Un bilan Proteomis et une analyse de sang classique sont extrêmement différents, mais complémentaires.

Le médecin qui demande une analyse de sang classique voudra déterminer si le sang ne contient pas une quantité anormale de substances ou des cellules sanguines pathologiques. Le contexte est celui du dépistage d’une pathologie présumée ou du suivi d’une maladie déjà diagnostiquée.

Un bilan Proteomis, au contraire, évalue les réactions de toutes les protéines sanguines par une batterie d’environ 50 tests. Le graphique en « V » qui en résulte visualise la façon dont le sérum du patient réagit aux tests. Il s’agit de données mesurables et donc susceptibles de suivi ultérieur.

Il appartient au médecin prescripteur d’interpréter le bilan Proteomis et de le mettre en concordance avec les signes cliniques et l’examen du patient. Le cas échéant cela va l’aider pour s’orienter vers d’autres analyses complémentaires (analyse de sang classique, déficiences ou déséquilibres nutritionnels et/ou hormonaux, imagerie, et autres examens spécialisés).

Un bilan de première intention …et un bilan prédictif !

L’intérêt primordial du bilan est bien sa dimension « prédictive ». Plus de quarante ans de pratique et d’échanges avec de nombreux confrères m’ont convaincu que les variations biologiques observées sont en avance sur l’apparition de la clinique.

Ainsi le bilan peut servir de « signal d’alerte ».

A l’inverse, lorsqu’il s’améliore on peut être certain que le symptômes cliniques ne tarderont pas à suivre et donc que l’ensemble des thérapeutiques proposées ont été ou vont être  favorable.

Il m’est impossible ici de donner des explications détaillées de l’interprétation d’un bilan.

J’aimerais en revanche vous donner envie[5] de trouver un prescripteur qui vous permette d’accéder à ces données. Car un bilan Proteomis demandé en première intention permet de définir rapidement les grands axes de perturbations pathologiques.

Voici les grandes lignes de l’interprétation.

Le résultat du test se présente sous forme d’une courbe en « V » dont la pointe se situe vers le bas. En fonction de l’élargissement de l’espace entre les branches du « V » se dessinent des « écarts-types ». C’est d’ailleurs une des particularités du bilan :

  • Plus le « V » est resserré, moins les différents paramètres s’éloignent du centre et donc les écarts type faibles, plus on a de chance d’être dans une configuration non pathologique.
  • Les paramètres peuvent se déplacer globalement vers la gauche. Avec un « V » déséquilibré à gauche on peut parler d’un bilan de type « hypo ».
  • A l’inverse lorsque certains paramètres se déplacent à droite, le « V » se déforme dans l’autre sens et on parle alors de bilan ou de paramètres en « hyper ».
  • Bien entendu les deux situations peuvent se combiner : les deux branches du « V » s’écartent, les écarts-types en hypo et en hyper augmentent.

L’interprétation ne s’arrête pas là.

La couleur des paramètres indique dans quelle zone de pH (acidité ou alcalinité) se trouvent les protéines étudiées.

Les patients font une confusion fréquente avec le nom des différents paramètres (les réactifs utilisés par le laboratoire), par exemple « acétate de cuivre » et la notion quantitative de « manquer » ou « d’avoir trop » de cuivre. Il en est de même pour « l’acétate de plomb », etc…

Cela n’a rien à voir avec un taux sanguin de cuivre ou de plomb et il est important de le préciser ici.

L’ordonnancement des paramètres dans les branches du « V », en plus de la forme ce « V » va permettre l’interprétation du bilan par un thérapeute averti, expérimenté et formé.

Chaque couleur de paramètre correspond à un type de globulines :

  • Les paramètres verts aux alpha globulines qui sont dites « acides ». Isolés en « hypo » vers la gauche ils signalent un risque de fatigue physique d’inflammation (y compris infra clinique), d’une infection, dont la gravité et le risque va dépendre de l’ordre de certains d’entre eux. En hypo, mixés avec les paramètres violets (dit « larges) ils signalent une faiblesse immunitaire
  • Les paramètres rouges représentent les lipoprotéines et sont souvent liés au risque vasculaire ou psychologique. En hyper ils signalent soit un risque cardiovasculaire et/ou une mauvaise alimentation, soit un risque de forte angoisse ou de décompensation neuro-psychique. En hypo ils peuvent annoncer un risque dépressif ou une alimentation manquant de bons acides gras tels que par exemple les « oméga-3 ». Attention, la prise de médicaments anti-lipidiques type « statines » peut affecter la déviation vers la gauche de ces paramètres. Il faut donc en tenir compte dans l’interprétation. Mixés aux tests « violets » ils témoignent en hypo d’une mauvaise digestion et en hyper de déséquilibres diététiques. Dans les deux cas, il faut rechercher une dysbiose, des intolérances alimentaires et des problèmes de perméabilité intestinale qui vont de pair.
  • Les paramètres bleus ou basiques sont en relation avec le système hormonal. En hypo ils témoignent d’un déficit et en hyper d’un excès ou d’une hypersensibilité hormonale, risque d’intoxication par des perturbateurs endocriniens ou mauvaise et excessive supplémentation. Mixés aux paramètres violets ils orientent, en hypo vers un déficit immunitaire et en hyper vers une tendance vers la maladie auto-immune
  • Les paramètres violets sont un mélange des trois premiers et c’est pour cette raison qu’on les nomme paramètres « larges ». En hypo, ils confirment la déficience immunitaire et en hyper, les allergies et les intolérances alimentaires.

Le reste de l’interprétation doit être le fait du thérapeute.

Ce bilan, en première intention, à la suite d’une première consultation, ne permet pas (encore) de conclure un diagnostic.

Mais il alerte le médecin et le dirige vers des investigations complémentaires qui confirmeront ou infirmeront ces alertes. Son intérêt est d’être prédictif, parce que la perturbation biologique exprimée dans le bilan peut survenir des semaines ou des mois avant l’apparition de la pathologie. 

Quels sont les objectifs réels de ce bilan ?

Le bilan Proteomis permet, en première intention, de confirmer d’autres examens, un ou plusieurs symptômes énoncés, de grandes tendances pathologiques ou des problèmes thérapeutiques. Il oriente utilement des recherches cliniques, biologiques ou radiologiques complémentaires. Il rassure ou au contraire « alerte » et c’est déjà très important.

De plus, pour chaque profil Proteomis des conseils de phytothérapie calculée et/ou des conseils nutritionnels sont systématiquement proposés au prescripteur qui pourra les adapter en fonction de l’examen clinique. Selon les cas, cette action s’inscrit dans une démarche préventive ou curative.

Le bilan va aussi fournir une vision globale neuro-psychique de l’individu qui surprend souvent les patients. Combien de fois les ai-je entendus s’exclamer : « Mais comment pouvez-vous savoir tant de chose sur mon caractère ou mes perturbations psychologiques à partir d’une prise de sang ? »

Pour clore ce chapitre, je voudrais ici réaffirmer que la pratique du bilan protéomique illustre bien qu’il existe aujourd’hui deux types bien distincts d’individus :

  • Ceux qui, dès leur jeunesse et dans leur pleine santé, se préoccupent de leur avenir et comprennent que la santé est la conséquence du maintien d’équilibres physiologiques mesurables. Cette « mesure » sera illustrée par l’aspect du bilan et le maintien de sa stabilité (en le répétant régulièrement[6]) et par des thérapeutiques appropriées. Il permettra (comme pour un bilan nutritionnel ou un bilan de stress oxydant) de réaliser une véritable prévention active personnalisée.
  • Et tous les autres (attention, mon but n’est pas de culpabiliser qui que ce soit !), tous ceux qui n’ont jamais réfléchi à cette « prévention active personnalisée » dont un jour, le bilan Proteomis et d’autres feront apparaître des pathologies silencieuses qu’ils auraient pu éviter, par exemple, le diabète ou l’hypertension artérielle

Le bilan protéomique du CEIA m’apparaît donc depuis plus de 40 ans comme une solution simple et moins coûteuse que beaucoup d’autres pour surveiller sa santé, une évolution pathologie qui ne s’exprime pas encore cliniquement ou avec des examens classiques, de préciser un pronostic ou la qualité d’une thérapeutique.

Docteur Dominique Rueff

P.S. Pour ceux qui veulent poursuivre la réflexion.

Il y quelques années, je me suis intéressé à l’intérêt de certains bilans dits de « polymorphisme génétique ». Ces bilans furent présentés dans divers congrès « anti-âge » comme une approche originale de médecine prédictive.

Il est vrai que dans une même famille, par exemple de faux jumeaux, l’expression de certains groupes de gènes peut indiquer des sensibilités très différentes à l’environnement et même de façon très différente de métabolisme (enzymes dit de phase de phase I ou d’absorption) ou d’élimination (enzymes de phase II dits d’élimination) certains toxiques ou certains médicaments.

Avec le temps et la pratique, ces bilans sont apparus complexes et coûteux, dans la mesure où ils n’apportaient pas toujours d’une part, des résultats facilement exploitables, et d’autre part des renseignements très différents de ceux que nous avions déjà avec l’exploitation du bilan Proteomis ou l’anamnèse approfondie du sujet capable de décrire finement ses réactions à l’environnement.

Il est certain que ce type d’approche se développant, les coûts diminuant, on s’achemine vers ce que l’on nomme « nutrigénomique » qui, loin d’être opposable à l’interprétation d’un protéome, serait alors complémentaire, mais aujourd’hui nous n’en sommes encore qu’aux prémisses.

En réfléchissant encore, il m’est apparu que la « protéomique » était de fait l’expression de la « nutrigénomique » et que le bilan Proteomis pouvait donc nous apporter, à moindres frais, le même type de conclusions et d’orientations.

P.S. 2 : EN RÉPONSE À VOS NOMBREUSES QUESTIONS : Où trouver un médecin qui effectue ce bilan

Pour trouver un cabinet médical pratiquant ce bilan, il suffit de se connecter sur la page https://www.proteomis.com/fr, puis cliquer sur « patient » ou aller directement sur la page : https://www.proteomis.com/fr/patient/trouver-un-cabinet-medical

 

 

 


[1] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/dr-rueff-biographie/

[2] https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/faq/6902-electrophorese-des-proteines-seriques

[3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Protéine_sérique

[4] Parfois infra cliniques donc à dépister par des dosages biologiques classiques

[5] Vous trouverez sur le site https://www.proteomis.com/fr les moyens d’accéder par les laboratoires les plus habitués à l’envoi des analyses. « puisqu’ aujourd’hui le patient, à son initiative, peut demander à son laboratoire la réalisation d’un bilan sanguin sans ordonnance. » (Conséquence de l’application de la loi HPST de janvier 2010)

[6] Il faut préciser que chaque thérapeute enregistré dans la base de données du CEIA dispose de la suite de tous les bilans réalisés. L’analyse de cette suite est un élément précieux qui permet de visualiser l’évolution biologique de la personne pendant des années de vie.

 



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


20 réponses à “Le bilan Proteomis, un trésor de plus pour votre santé”

  1. Maria delattre dit :

    Comment trouver un medeci. Habitue a travailler avec ces donnees ? Mon medecin traitant ne connait pas ce bilan

  2. Rongier dit :

    Merci pour l’article, très intéressée
    Comment trouver les coordonnées d’un thérapeute adepte des bilans Proteomis??
    Merci de me communiquer des adresses en région parisienne et Côte Basque
    Cordialement
    RR

  3. Sénémaud dit :

    Merci pour vos articles, toujours très intéressants.

    Merci de nous communiquer des thérapeutes en région parisienne.
    Cordialement,
    MS

  4. Maryse Mennesson dit :

    Merci pour cet article très intéressant mais aucun médecin de mon entourage ne connais ce bilan ! Donc si vous ne donnez pas une liste de médecins concernés ça ne sert à rien ! Merci de nous communiquer une liste de médecins sur Paris .

  5. Jacques MAIROT dit :

    Bonjour,
    Merci pour cet excellent article.
    Je pratique cette méthode de santé prédictive depuis plus de 40 ans et je conseil ces tests à mes proches et relations.
    J’ai la  »chance » d’habiter à proximité du château des Carbonnières à Lacenas dans le Rhône. J’ai consultai le docteur ERIC puis maintenant son fils Pierre Olivier REYMOND avec beaucoup de satisfaction.
    Je me permet de transmettre votre article aux Dr Pierre Olivier REYMOND.
    Remerciements et meilleures salutations.
    Jacques MAIROT

  6. berthelot dit :

    Bonjour Monsieur,
    Est ce que les médecins connaissent cet examen? Il serait logique de les informer de façon à ce qu’il puisse prescrire ce bilan! est-ce que cet examen est remboursé par la sécurité sociale?
    La sécurité sociale connait -elle les économies qu’elle obtiendrait si un tel examen (préventif et ciblé) était couramment prescrit?
    enfin, Madame la ministre de la santé a peut être un rôle déterminant à jouer , c’est son métier, l’information s’adresse d’abord aux décideurs, ensuite il sera facile d’exprimer son choix ,vous serez suivi et appuyé dans votre démarche…. comme nous avons soutenu Monsieur Joyeux , un VRAI médecin!
    un grand merci pour ces informations que personne d’autre ne révèle!!!

  7. DANIELE LEROUX dit :

    Article passionnant mais en province, il est déjà difficile de trouver un médecin anti-âge ou qui s’intéresse à la prévention, comment contacter un médecin qui connait et pratique cette méthode et ce test ?

  8. PATRICIA GUENEGO dit :

    Merci pour votre article particulièrement intéressante,
    pourriez vous me communiquer les référence d’un thérapeute, je suis dans le val de marne et peux me déplacer facilement.
    Merci pour votre retour.
    Cordialement.

  9. PATRICIA GUENEGO dit :

    désolée , j’ai lu votre lettre et je m’aperçois seulement maintenant que les renseignements que je vous ai demandés figures à la fin de votre article sur le site.
    Je vais faire cette démarche.

    Cordialement

  10. Alain Triaire dit :

    Merci de m’informer d’un bilan que je pratique depuis bientôt quarante ans.

  11. LACROZE VALERIE dit :

    Bonjour,
    Je suis praticien naturopathe et en formation Proteomis sur Lyon depuis 1an, je viens d’écrire un article concernant ce bilan pour mon site internet, je souhaite mettre en complément votre article très complet sous forme de lien pour les personnes souhaitant allez plus loin sur le sujet.
    Merci de me donner votre autorisation..ou pas
    Grand merci pour vos articles, bien cordialement

  12. GOURVENEC dit :

    Bonjour
    Suivi depuis fin 2015 par 2 CHU pour des « nodules » au foie (Tumeurs ou C.H.C.?), une Transplantation hépatique (T.H.) était envisagée dès 2017 que j’ai refusée compte tenu des résultats contradictoires obtenus suite à deux IRM (« Pas de lésion active » puis  » Toujours pas de lésions caractéristiques de C.H.C.) faites en 8 mois d’intervalle. Cela dit pour ces 2 CHU je serais toujours « en danger » que les choses s’aggravent et ils me préconisent des Chimio-Embolisations (C.E.L.)…Un bilan CEIA récent , montrerait que pour le médecin qui va me suivre il n’y aurait, selon ses propres paroles: « A mon sens pas de cancer…! » Que dois je penser de tout cela, SVP?

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