Vaccination : quels sont les enjeux ?

Chère amie, cher ami,

J’aimerais aujourd’hui partager avec vous l’essentiel d’une vidéo-conférence[1] faite par le docteur Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et président du Conseil Scientifique du Criigen[2]. Ce chercheur militant, ou militant chercheur (pour reprendre les propos du journal Le Monde[3]) a effectué un gros travail de recherche, bien documenté, sur les vaccins, à propos duquel je vous donnerai mes conclusions.

Cette lettre, je préfère vous le dire d’emblée, est un peu technique. Mais elle me semble essentielle pour que vous puissiez saisir les enjeux de la vaccination contre le Covid-19, en particulier les questions soulevées par ces nouveaux vaccins « à ARN ou ADN », et ainsi tenter de vous donner les clés pour faire vos propres choix.

Je précise que mes propos, tout comme ceux du docteur Christian Vélot que je retranscris, n’ont aucune vocation à alimenter un débat anti-vaccin, mais seulement à informer à propos des mécanismes et des potentiels risques de certains vaccins.

Pourquoi faut-il absolument être prudent et exigeant à propos d’un vaccin ? Par ce que contrairement à un médicament qui s’adresse à une personne malade, le vaccin s’adresse en prévention à une personne saine. Il n’est donc pas supposé apporter d’effets secondaires ou engendrer des risques, à moins qu’il ne soit destiné à une maladie potentiellement très grave, comme c’est le cas, par exemple, pour la fièvre Ebola.

Voilà pourquoi l’exigence vis-à-vis de la sécurité d’un vaccin doit être bien supérieure à celle de tout médicament.

Avant d’aborder le problème des différents vaccins proposés contre le Covid-19, il serait bon d’essayer de comprendre ce qu’est un virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

C’est une couche de protéines qui enveloppe le matériel génétique du virus, formant une coque. On l’appelle une « capside ». Cette capside, dans le cas des coronavirus, peut être entourée d’une double couche de graisse, dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une protéine que l’on appelle « protéine de surface », et qui donnent visuellement un effet de couronne, d’où le nom « coronavirus ». Dans le cas de du SARS-CoV-2 (le virus du Covid-19), cette protéine s’appelle « Spike ». C’est elle qui permet au virus de pénétrer dans nos cellules et de les infecter.

Certains virus ont un matériel génétique fait d’ADN, ils peuvent donc transmettre directement l’information génétique à notre ADN cellulaire et détourner la machinerie cellulaire à leur profit.

D’autres virus ont un matériel génétique à ARN[4]. C’est le cas des coronavirus, en particulier du SARS-CoV-2. Le virus pourra alors transmettre directement son information sans passer par l’ADN intra-cellulaire. 

Qu’est-ce qu’un vaccin ?

Un vaccin consiste à entraîner notre organisme, à stimuler notre système immunitaire et à le préparer à faire face au virus le jour où il infectera notre organisme. Il aura alors suffisamment d’anticorps pour lutter contre l’infection. 

Quel sont les différents types de vaccins (indépendamment de ceux proposés contre le Covid-19) ?

Un certain nombre de vaccins consistent à injecter, par exemple, un virus entier dans l’organisme. Ce sont des virus soit inactivés (on parle alors de vaccin inactivé), soit atténués (on parle alors de vaccin atténué).

Le virus est inactivé par un traitement chimique comme le formaldéhyde, ou par des irradiations aux UV. Il est inactif, mais immunisant. Pour augmenter sa fonction d’immunisation, il doit être potentialisé par l’ajout d’adjuvants, tels que des sels d’aluminium, qui sont suspectés de toxicité[5].

Ce type de vaccin nécessite souvent plusieurs injections à différents intervalles (rappels). Les vaccins contre la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’Haemophilus influenza de type b, l’hépatite A, l’hépatite B, le pneumocoque, la grippe, l’encéphalite à tiques d’Europe centrale, l’encéphalite japonaise et la méningite à méningocoques (A, C, W, Y) sont des vaccins inactivés.

Dans le cadre d’un virus atténué, le virus n’est pas mort, mais il a été traité pour rendre son développement impossible dans l’organisme à 37° (la température normale du corps). Ce type de vaccin a l’avantage d’être plus immunogène que les vaccins inactivés, mais présente plus de risque infectieux, ce qui les contre-indique chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées. Les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la fièvre jaune et le vaccin oral contre la fièvre typhoïde sont des vaccins atténués.

Il existe aussi des vaccins à protéine recombinante, c’est-à-dire avec une protéine qui n’existe pas dans la nature. Elle est fabriquée artificiellement en laboratoire. C’est cette protéine qui va déclencher la fabrication d’anticorps. Les vaccins contre l’hépatite B et le papillomavirus sont des vaccins à protéine recombinante.

Et les vaccins contre le Covid-19 ?

Dans le cadre du Covid-19, deux vaccins sont disponibles en France, à la date où j’écris ce texte. Ce sont des vaccins à ARN messager (je vais y revenir). Mais il y a actuellement pléthore de candidats vaccins dans le monde.

Certains sont des vaccins inactivés. C’est le cas des deux vaccins chinois fabriqués par le laboratoire Sinopharm : ils sont administrés depuis juillet dernier, alors que commençaient tout juste les essais cliniques de stade 3 (tests du vaccin sur plusieurs dizaines de milliers de personnes).

Il y a aussi des candidats vaccins à protéines recombinantes, qui utilisent la protéine de surface du virus : c’est le cas du projet américain Novavax, de la société canadienne Medicago, et de l’un des deux candidats vaccins de Sanofi/Pasteur.

Les deux vaccins disponibles en France, je le disais, sont des vaccins à ARN messager ou à ADN, produits par les sociétés pharmaceutiques Pfizer-BioNTech et Moderna. Il s’agit d’une nouvelle technologie de vaccin, qui consiste à n’injecter qu’une partie du matériel génétique, celle qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike. L’idée consiste à essayer de faire fabriquer directement les anticorps par la personne concernée. Dans le cadre des vaccins à ARN, ce peut être un morceau de l’ARN viral, qui va être le « messager » : comme l’information génétique ne peut pénétrer seule dans les cellules, elle nécessite un vecteur, c’est-à-dire une petite capsule, une nanoparticule de graisse dans laquelle on a emprisonné une partie du matériel de SARS-CoV-2, qui n’aura aucune difficulté à fusionner avec les bicouches de graisse de nos propres cellules.

Il existe également des vaccins à ADN, qui utilisent un vecteur qui est un autre virus que le SARS-CoV-2. C’est le cas du vaccin développé par AstraZeneca, ou du vaccin Spoutnik-V développé par la Russie, qui utilisent comme vecteur un virus recombinant et inopérant, un adénovirus à ADN (responsable de ces états grippaux hivernaux que nous confondons souvent avec la grippe). La partie du virus qui a été éliminée pour le rendre inopérant est alors remplacée par une partie du virus SARS-CoV-2 afin de déclencher la réaction immunitaire ; c’est ce que l’on appelle un virus recombinant. Ce dernier va délivrer dans nos cellules du matériel génétique hybride, fait d’une partie de l’adénovirus et d’une partie du SARS-CoV-2. Pour que l’ARN du SARS-CoV-2 puisse être intégré dans la cellule hôte, il doit d’abord être converti en ADN au moyen d’une enzyme : la transcriptase inverse. Cette réaction se fait en laboratoire, et permet de récupérer une « version ADN » du génome du SARS-CoV-2 qui n’existe pas dans la nature, afin de l’injecter dans l’organisme.

Quels sont les questionnements et les risques que soulèvent ces nouvelles technologies vaccinales ?

Commençons par les vaccins à ADN.

Le risque est que l’ADN vaccinant s’intègre dans nos propres chromosomes et modifie notre propre ADN. On a déjà des exemples d’effets inappropriés de ce type de virus dans le cadre d’essais de thérapies géniques, car on ne maîtrise pas toujours le site où l’ADN réparateur va s’insérer. Au lieu de s’insérer dans le bon site, il peut choisir des oncogènes[6], entraîner des risques prolifératifs, et donc, à terme, des tumeurs cancéreuses. C’est ce qu’il s’est passé en 2003 dans des essais de thérapies géniques où deux enfants souffrant d’un déficit immunitaire sévère avaient développé une leucémie[7]. Cela s’appelle de la mutagenèse insertionnelle[8]. Si le risque est encore acceptable dans le cas d’essais thérapeutiques sur quelques personnes déjà très malades, il ne l’est pas dans le cadre d’un vaccin destiné à des millions de personnes.

D’autres essais cliniques d’immunothérapie pour traiter le cancer ont utilisé cette même injection de matériel viral d’un adénovirus recombinant, étranger à notre corps, et ont pu conduire à des réactions immunologiques imprévues chez certaines personnes, dont des maladies auto-immunes et des déséquilibres immunitaires. 

Poursuivons avec les vaccins à ARN.

C’est un peu différent avec l’ARN, car il reste dans le cytoplasme[9] de la cellule et ne peut entrer en contact avec les chromosomes de la personne, et donc s’y insérer. Cependant, il y a un risque commun à l’ADN et à l’ARN, c’est le risque de recombinaison virale, dû au fait que les virus échangent facilement du matériel génétique entre eux, à condition qu’ils soient de même nature. Cela peut conduire à des virus recombinants, qui seront constitués en partie du matériel génétique de l’un et l’autre virus, sans que l’on puisse savoir à l’avance quel sera la virulence de ce nouveau virus. Par exemple, le virus H1N1 était un triple recombinant de la grippe porcine, de la grippe aviaire et de la grippe humaine ; mais il a, heureusement, rapidement disparu.

Pour que cette recombinaison se produise, il faut qu’une cellule soit infectée en même temps par deux virus, ce qui est extrêmement peu probable. Sauf que dès lors que l’on introduit du matériel génétique viral volontairement dans des cellules à des fins de vaccination, il suffit que ces mêmes cellules soient infectées par deux virus de même nature (virus vaccinant et virus infectant) pour que le phénomène se produise. Bien entendu, les probabilités restent extrêmement faibles, parce qu’il faudrait que les cellules soient infectées au même moment. On peut imaginer que cela ne pourrait se produire que pour une personne sur 1 million ou une personne sur 100 millions, ce qui est effectivement très faible, mais non nul dans la mesure où le but est de vacciner des centaines de millions de personnes. Le risque en vaut-il la chandelle ? Le risque doit-il être considéré à l’échelle de l’individu ou à l’échelle de la population ? Ce nouveau virus serait-il en mesure d’aller infecter à nouveau toute une population ? Nul ne le sait, mais il ne faut jamais perdre de vue qu’il suffit qu’un nouveau virus émerge, un jour, quelque part, pour que les conséquences soient mondiales. Pour conclure, ce phénomène, bien qu’ayant une très faible incidence, pose vraiment la question de la prise de risque à l’échelle de la population mondiale. Ne devrions-nous pas préférer d’anciennes technologies vaccinales qui ont déjà fait leurs preuves ?

Nous sommes devant un nouveau virus aux symptômes et aux conséquences imprévisibles : certains perdent le goût et/ou l’odorat, d’autres non, certains les retrouvent rapidement, d’autres non, certains ont des symptômes prolongés et inexpliqués, que l’on nomme « Covid long », d’autres non.

Alors, nous dit Christian Vélot, faut-il ajouter le risque, même très faible, d’une nouvelle technologie vaccinale, à ce nouveau virus ?

 Il ajoute, et je le rejoins complètement sur ce point, que l’on se désole que la France soit en retard dans cette course aux vaccins, mais l’on n’est pas dans une compétition sportive ! La question n’est pas de savoir qui va franchir le premier la ligne d’arrivée, mais qui va la franchir dans les meilleures conditions !

Quitte à cohabiter un peu plus longtemps avec ce virus, avec les mesures barrières que nous connaissons, prenons le temps de trouver un vaccin ou un remède qui ne puisse en aucun cas être pire que le mal.

La biosécurité[10] et la fiabilité ne sont pas compatibles avec l’urgence, que cette urgence soit sanitaire, économique, politique ou financière.

Je souhaite sincèrement qu’avec tous ces éléments, chacun puisse prendre ses décisions en toute connaissance et toute responsabilité, en fonction de sa situation personnelle : âge, antécédents, comorbidités, degré d’exposition, etc… La retranscription de cette conférence n’avait d’autre but que de vous éclairer dans ce choix.

Surveillez bien votre boîte mail,

Docteur Dominique Rueff

[1] « Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe », Criigen, vidéo du 26 décembre 2020, disponible sur : https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/ 

[2] https://criigen.org/

[3] Pierre Le Hir, « Christian Vélot, profession : lanceur d’alerte », Le Monde, 14 mai 2008, disponible sur : https://www.lemonde.fr/planete/article/2008/05/14/christian-velot-profession-lanceur-d-alerte_1044808_3244.html

[4] Acide ribonucléique

[5] https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/vaccination/articles/15567-vaccination-aluminium.htm

[6] Une catégorie de gènes dont l’expression favorise la survenue de cancers.

[7] https://www.revmed.ch/RMS/2003/RMS-2422/937

[8] Qui perturbe nos gènes.

[9] La partie liquide de la cellule qui n’entre jamais en contact avec le noyau.

[10] La biosécurité est la prévention des risques biologiques, notamment ceux liés au développement des biotechnologies.


[1] « Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe », Criigen, vidéo du 26 décembre 2020, disponible sur : https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/ 

[2] https://criigen.org/

[3] Pierre Le Hir, « Christian Vélot, profession : lanceur d’alerte », Le Monde, 14 mai 2008, disponible sur : https://www.lemonde.fr/planete/article/2008/05/14/christian-velot-profession-lanceur-d-alerte_1044808_3244.html

[4] Acide ribonucléique

[5] https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/vaccination/articles/15567-vaccination-aluminium.htm

[6] Une catégorie de gènes dont l’expression favorise la survenue de cancers.

[7] https://www.revmed.ch/RMS/2003/RMS-2422/937

[8] Qui perturbe nos gènes.

[9] La partie liquide de la cellule qui n’entre jamais en contact avec le noyau.

[10] La biosécurité est la prévention des risques biologiques, notamment ceux liés au développement des biotechnologies.



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


38 réponses à “Vaccination : quels sont les enjeux ?”

  1. CHEVALIER dit :

    Article en tous points remarquable !!!
    Rien à ajouter, tout est dit !!
    Félicitations !

  2. GOSSE dit :

    Merci pour cet éclairage qui conforte les attentistes et si la létalité est toujours de 5 pour mille (personnes en comorbidité) , est-il raisonnable de harceler en continu avec des chiffres plutôt flous une population qui ne demande qu’à travailler après plusieurs épisodes de grèves? La dictature rampante et l’entente de la haute finance avec Bigpharma qui arrose par milliard annuellement les média sont fort heureusement contrées par l’information santé naturelle. Un grand merci. Continuez, la vérité éclatera au grand jour. Ça commence avec la vitamine D, c’est un bon début, mais que de temps perdu!!!

  3. Clément gerard dit :

    Bonjour docteur le vaccin astra zeneca est donc adn et génétiquement modifié que faut t il vraiment en penser merci

  4. COYARD dit :

    Grand merci pour cet article tout à fait intéressant (même si je ne suis pas scientifique). Le message est clair.
    J’ai écrit à mon médecin traitant (qui habite une autre ville car pénurie de généraliste là où nous habitons). J’ai eu jadis une importante réaction inflammatoire avec un vaccin anti-grippal. Je souhaitais un conseil et savoir s’il existe des tests sanguins pour mesurer la sensibilité éventuelle.
    Courrier resté sans réponse !!!
    Vos lettres sont toujours intéressantes. Bonne continuation.

  5. Jerome dit :

    Bonjour Docteur,
    Merci pour votre article.
    Je pensais que le vaccin antitétanique n’avait aucun effet sur la toxine (générée en l’absence d’oxygène) car elle ne progresse pas par voie sanguine ; et qu’un sérum antitétanique était donc indispensable pour traiter le tétanos ?
    Bien à vous

  6. SERCLERAT DANIELLE dit :

    Je réagis à ce propos dans votre article sur la vaccination : « Quitte à cohabiter un peu plus longtemps avec ce virus, avec les mesures barrières que nous connaissons, prenons le temps de trouver un vaccin ou un remède qui ne puisse en aucun cas être pire que le mal. » Les remèdes efficaces existent, simples et peu couteux. Ces vaccins sont juste un business, un commerce crapuleux sur le dos des humains. Cordialement

  7. patrick le gros dit :

    bonjour,
    Mon grand père était résistant dans le réseau de la police nationale, le réseau plutus .
    Je souhaite vous féliciter ainsi que de nombreux autres, qui avez le courage de vous opposer à l’extermination sélective de certaines parties de la population mondiale.
    Tout comme pour la peine de mort en chine où vous devez payer la balle de votre exécution, ici vous devez payer le « remède » qui vous tueras d’une « maladie » collatérale achetée sur vos impôts. Tout est fait pour réduire la natalité et augmenter la mortalité car 7 milliards sur Terre cela fait peur à ceux qui veulent conserver leur suprématie.
    Je voudrais citer Pierre Rabhi lorsqu’il parle de la sobriété heureuse. En effet 7 milliards d’individus sobres permettrait à la planète de se guérir.
    Au fait comme source d’énergie il semble que l’on puisse faire de manière industrielle (bactéries plus levures) de l’hydrazine à partir de l’urée contenue dans l’urine humaine et animaux d’élevage; voila qui ferait d’une pierre deux coups moins de pollution et une énergie renouvelable pour des pile à combustible (voitures dahiatsu)

  8. Hinsberger dit :

    Bonjour
    .Pour moi c’est simple. J’ai 70 ans ,un emphysème
    DES Problèmes de tout genre.
    Ouvrier de l’industrie automobile
    Donc hors de question d’une pinçure de la mors pour moi.
    Cordialement Hinsberger Etienne.

  9. Patrice Gouty dit :

    Dr Rueff,
    Un simple et grand merci.
    Pourquoi le bon sens a t il disparu? Les medias ne ce focalisent que sur les peurs. Un article comme celui ci contient tellement d’information. Cette course effrenee dont vous parlez, elle aussi nourrie par des medias et des personnalites souvent tres mal informees. Dans tout les cas, la peur est la, entretenue, constament et encore dans nos medias, avec des phrases toutes faites, ligne de defense, la guerre contre le virus…

  10. Lallouette Monique dit :

    Merci pour toutes les explications que vous nous avez formulées de A à Z, explications aussi pertinentes et précises que nous n’avons trouvées nulle part ailleurs.
    Bonne fin de jurnée.
    Monique.

  11. Christian BEGERT dit :

    soyez remercié pour ces informations claires dispensées bénévolement pour le bénéfice du plus grand nombre

  12. MAGINOT dit :

    Bonjour Docteur,

    Je tiens à vous remercier chaleureusement pour ce compte-rendu très clair car les informations médiatiques créent souvent beaucoup de confusion.

    Je parle tous les jours de votre lettre et de vous-même car je représente Vit’All+ dans les pharmacies du Sud-Est!

    Alors je souhaite que vous continuiez longtemps car j’ai beaucoup appris grâce a vous!

    J’en profite pour vous souhaitez une très bonne Année!

  13. PATRICIA AUROUET dit :

    Bonjour Docteur
    Merci pour cette analyse
    Ma question est pourquoi faire un vaccin pour un virus qui n’a fait que 0.05 de mortalité? des virus respiratoires il y en a plein chaque année …de plus si l’on prend le nombre de morts au niveau mondial, il est identique à la grippe. Ce covid n’est ni la grippe espagnole ni la peste ni la grippe asiatique qui ont fait des millions de morts. Il existe des traitements qui marchent. A l’heure d’aujourd’hui cela fait 40 ans que des chercheurs essaient de trouver un vaccin contre le sida sans succès. Comment peut on faire un vaccin en en quelques mois? Sachant qu’il est possible d’attraper le covid plusieurs fois en quoi un pseudo vaccin peut il être utile? tout ceci n’a aucun sens à part avoir rendu la population en état de peur totale pour 90%, en leurs faisant croire que nous allions tous mourir et nous rendre soumis . Je suis une Mamie consternée de tout ce qui se passe en France et dans le monde, et si peu de gens se rendre compte de ce qui se passe et dans quel but.

  14. ANNA JUCHNOWSKI dit :

    Bonjour,c’est vraiment dommage, que l’accès à la consultation des sources sur votre site soit bloqué par un écran de publicité pour un livre de M. Dupuis????  Il n’est pas possible de fermer cette publicité et de consulter les sources, ce que peut induire un doute de la part des sceptiques…………
    Cordialement,
    Anna J.

  15. Hervé Brillet dit :

    Bonjour docteur,

    Je souscris entièrement aux observations formulées par Mme Patricia Aurouet.

    C’est la raison pour laquelle je me demande s’il n’aurait pas été opportun d’ajouter dans votre antépénultième paragraphe un passage rappelant qu’il existe maintenant un certain nombre de protocoles dont l’efficacité est avérée pour traiter, en ambulatoire, et guérir les « vrais » malades. Les hôpitaux en seraient grandement soulagés.

    Il convient d’ajouter que les pouvoirs publics se gardent bien de faire état de ces protocoles. Il faut espérer que les 113 plaintes déposées devant la Cour de justice de la République et les 253 plaintes déposées auprès du Parquet de Paris, nous éclairerons sur les errements desdits pouvoirs publics. Et que les sanctions tomberont.

    Hervé Brillet

  16. Françoise Picon dit :

    Merci Docteur !
    Enfin des explications suffisamment claires et précises pour nous permettre de sortir la tête de l’océan d’ignorance et de peur où nous nageons, et de savoir un peu mieux où nous allons.

  17. COMBELLE NICOLE dit :

    Merci – de nous informer très clairement les détails de la composition de ce nouveau vaccin – très interessant – je n ai pas l intention de me faire vacciner – après examen serologique covid j ai toujours les anticorps 1an après – j ai eu le virus en janvier 2020 – a ce cette époque mon médecin ignorait que c était le covid – !!!!!

  18. françoise dit :

    C’est vrai que la pub pour un livre est agaçante ! Elle s’affiche en lieu et place du commentaire, il faut s’y reprendre à plusieurs fois pour éjecter l’indésirable ! bien ! Merci Docteur, de votre lettre bien précieuse…. j’en fais une copie pour un vieil ami Docteur ! (c’est un comble), il a 93 ans bientôt et veut se faire vacciner !!!! Les gens perdent la boule même des diplômés en médecine ! Respectueuses salutations, Françoise B.A. de L.

  19. Duranson dit :

    merci pour ces informations. Vous avez réussi à être très clair.
    je ne comprends pas pourquoi on veut vacciner en dessous de 40 ans puisque le taux de létalité pour cette tranche d’âge est de qq 0,5%.
    je ne comprends pas pourquoi on ne fait pas comme dans les années 50 : tout enfant atteint par une maladie infantile voyait ses copains le visiter pour s’immuniser en même temps que lui.
    Cordialement

  20. CLAUDINE ASPERTI dit :

    Merci pour vos précisions techniques. C’est bien plus intéressant de pouvoir comprendre afin de décider en connaissance. Pour moi, c’est Non au vaccin . Je ne sais plus de qui est cette citation « Dès que vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort, vous lui faites faire ce que vous voulez ! ».

  21. marguerite dit :

    merci pour cette belle lettre DOCTEUR je ne voulais pas me faire vacciner. un vaccin qui a mis 6 mois alors que pour la grippe il a mis plusieurs années . et pour le cancer le vaccin il est ou? les médias ils ont que sa a la bouche.mon médecin m’a dit des qu’ils en parle a la télé vous arrêter.
    merci

  22. DUBI dit :

    Article très intéressant qui laisse bien des doutes concernant ces différents vaccins.Quel serait le plus adapté pour mon mari qui a eu 2 maladies auto-immunes ? dans l’éventualité où nous serions obligés de nous faire vacciner. Lorsque l’on a fait le virus d’epstein barr le vaccin peut il entraîner une leucémie ? Un grand virologue a signalé que le vaccin Arn peut jouer sur les lymphocytes. Avez vous des infos à ce sujet ?

    • patrick legros dit :

      bonjour,
      avez vous regardé les vidéos en lien sur cet article ?
      si vous en vouez une alternative par une spécialiste recherchez les vidéos de Alexandre Henrion Caude qui sont une manière différente d’arriver aux mêmes conclusions et présentent les mêmes contre-indications
      .

  23. Claude dit :

    Merci Docteur pour votre lettre sur les enjeux des vaccins.
    Ce descriptif incite réellement à la prudence, et sincèrement çà ne donne pas envie de prendre le risque, sachant qu’il existe des traitements efficaces et que d’autre part, concernant le vaccin Pfizer, on sait que les études doivent se terminer en 2022, c’est dire qu’il y a encore beaucoup d’incertitudes et que les volontaires actuels sont des cobayes.
    Dans les actualités j’ai vu que la note d’expertise du Dr Christian Velot généticien a été désavouée point par point par « monsieur vaccin » Alain Fischer, elle est pourtant factuelle et s’appuie sur 35 documents source. Quels arguments a-t-il pu déployer ? Il y a des écrits qui dérangent.
    J’ai une question, peut-on encore contaminer des personnes après avoir été vacciné, n’y a-t-il pas un lien avec l’apparition des nouveaux variants notamment chez les anglais qui ont été les premiers à recourir au vaccin ?
    Merci

  24. Boussard dit :

    Bonjour Docteur
    Merci à vous pour toutes ces précisions dans votre dernière lettre
    « . Ne devrions-nous pas préférer d’anciennes technologies vaccinales qui ont déjà fait leurs preuves « 
    Apres cette lecture fort intéressante,
    Je serai un peu plus favorable pour l’ancienne technologie, je devrai donc attendre celui de Pasteur ?
    Pasteur va t’il réussir à sortir son vaccin ? Utilise t’il donc bien l’ancienne technologie?
    Je vous remercie à l’avance si vous pouvez m’éclairer
    Très sincères salutations
    Evelyne

  25. Philippe Chardavoine dit :

    Bonjour , c’est Philippe , juste un petit commentaire pour rappeler qu’effectivement il s’agit d’une population de gens sains qu’on veut vacciner , et si on ne prend pas soin de vérifier l’état de santé ‘’ avant vaccination ‘’ on court le risque d’exposer des enfants á des problèmes assez grave comme l’Autisme et TDAH , de par la présence de sel d’aluminium et/ou de formaldéhyde , entre autres , qui semblent agir comme éléments déclencheurs pour les enfants , et peut-être même pour les personnes âgées , cela doit donc guider notre choix vers tel ou tel type de vaccin en fonction de l’état de santé de la personne á vacciner et/ou de l’âge de la personne . Merci , á bientôt . Philippe .

  26. Colette et Loïc TROTOUX dit :

    Merci pour ces informations précieuses et surtout inaccessibles au grand public, les médias n’ayant plus ce rôle !
    Cela nous conforte mon mari et moi, retraités, sans problème de santé important, dans notre choix d’attendre le vaccin français « classique ». Pour ce dernier, les réponses aux questions posées par Evelyne nous intéressent. Notre prudence rejoint également nos interrogations sur l’intérêt de ce vaccin, tout comme Patricia ! Quid des traitements (pouvez-vous nous informer à ce sujet) ?
    Cordialement

  27. Marie-Hélène dit :

    Bonjour Docteur, merci pour cette analyse passionnante. Ne pensez-vous pas toutefois que les vaccins « classiques » sont tout aussi dangereux :
    – un vaccin à virus inactivé nécessiterait pour être efficace une dose d’adjuvants telle que leur toxicité le rendrait à haut risque ?
    – un vaccin à virus atténué serait tout aussi hasardeux, s’agissant de l’incontrôlable CoVid 19 ?
    L’espoir n’est-il pas dans la recherche de traitements ?

  28. Dubillot dit :

    Article très intéressant.Ayant eu le virus d’epstein barr est-ce compatible avec ces nouveaux vaccins Arn ou Adn ? Pourriez-vous aborder ce sujet dans un prochain dossier? Merci

  29. Stéphane dit :

    Bonjour Docteur,
    Merci beaucoup pour cette lettre très intéressante.
    J’ai lu que les vaccins ARN et ADN pouvaient favoriser l’apparition de maladies auto-immunes chez des individus sains au départ.
    Quel est votre avis à ce sujet ?
    Je vous remercie à l’avance.
    Sincères salutations,
    Stéphane

  30. Dellière Alain. dit :

    Merci infiniment Docteur,votre lettre est très éclairante.Elle nous permet de prendre possession d’éléments que personne ne nous communique.Nous restons,pour beaucoup d’entre nous dans le flou artistique total, tout en sachant très bien que la situation actuelle est grave.Dommage que nos « penseurs »ne prennent pas conscience d’unir le savoir,les connaissances,l’expérience de leurs confrères,comme vous, afin de nous rassurer et de nous sécuriser.Votre lettre m’éclaire beaucoup.Merci+++

  31. Fuchs Colette dit :

    Cher Docteur,

    Merci beaucoup de nous avoir dévoilé votre opinion concernant les vaccins contre le coronavirus. Vous avez eu le courage de vous lancer et nous vous en sommes infiniment gré.
    A notre tour maintenant de faire le choix : nous faire vacciner pour avoir la liberté de circuler, de voyager ou alors de continuer à nous protéger préventivement contre ce très vilain virus. A ce sujet, vous me permettrez de vous demander si, depuis tant de mois nous prenons de la vitamine C et D, du zinc, du magnésium et de temps à autre un probiotique pour protéger nos intestins, cela sera-t-il suffisant pour nous garantir une non-contamination ? Peut-être y faudra-t-il autre chose surtout avec les variants qui nous inquiètent beaucoup…
    Si nous pouvions avoir encore votre opinion et vos conseils à ce sujet, cela nous ferait très très plaisir, et nous permettraient alors, en toute connaissance de cause, de faire notre choix.
    Merci beaucoup à vous !
    Colette

  32. LENGLEMEZ MICHEL dit :

    vos explications sont très claires mais aussi très techniques et incompréhensibles pour des novices
    Pourquoi le gouvernement ne réunit il pas , à la télé , une fois pour toutes , dans une seule émission , tous les plus grands spécialistes en immunologie et que ces gens nous disent si nous pouvons nous faire vacciner avec tels vaccins ou tels vaccins avec les inconvénients de ceux ci ou de ceux là afin de stopper tous ces beaux parleurs de la télé qui influencent chaque jours bon nombre de personnes sans savoir de quoi ils parlent mise à part que cela leur procurent de l’audience ils nous rendent malades , et aussi indécis ce qui est plus grave . Laisser parler les spécialistes c’est leur devoir et ce qu’ils ont choisi afin de soigner les gens .Mais attention il ne s’agit pas encore de faire une émission télé avec des gens qui se contredise pour avoir raison il faut qu’à la fin de l’émission chacun chez lui peut prendre une décision concernant ces vaccins voilà ce qui serait constructif au niveau de la nation

  33. Monique GOURDON dit :

    Cher Docteur ,
    Je regarde toujours vos lettres et vos vidéos avec beaucoup d’attention et cette lettre concernant les vaccins avec beaucoup d’intérêt.
    Par contre, pourriez-vous me donner des précisions sur le vaccin AstraZeneca? si je comprends bien, dans votre document, AstraZeneca est classé dans les vaccins à ADN, alors que d’autres lectures semblent dire que AstraZeneca est classé dans les vaccins à protéines virales donc dans une forme plus traditionnelle, je crois?
    Pouvez-vous nous donner des précisions sur ce vaccin AstraZeneca? Merci de aide afin de choisir en toute connaissance notre vaccin si on a le choix?

  34. Lydia Eyben dit :

    Bonjour,
    Je découvre votre site suite à mes recherches sur les 5 tibétains, discipline corporelle tibétaine.
    J’ai lu les commentaires des internautes avec plaisir et je me dis qu’il y a tout de même encore des gens sensés sur terre!
    Je suis attérée par l’hystérie et l’incrédulité collective de la population autour de ce virus!
    J’ai été atteinte des symptômes de ce virus au printemps dernier ainsi que ma fille adolescente. Parmi les symptômes, maux de gorge, fièvre, sensations d’étouffements, maux digestifs etc. Je me suis rappelée de l’argile et de ses nombreuses vertus. J’ai vite consulté le site du Dr Jade Allegre, qui a fait une thèse sur l’argile. Quelle n’a pas été ma surprise de l’entendre donner la posologie pour traiter ces symptômes! Prendre un verre d’eau et 2 càs d’argile, mélanger et tout boire immédiatement. (attention pas de métal avec l’argile) Les effets étaient tout de suite palpables et le virus a terminé ses dégâts!
    Ma maman (82 ans) a eu récemment des symptômes du virus qui devenaient inquiétants. Elle a pris la même recette suivie d’une autre le lendemain. La chose était classée et au bout de 2/3 jours elle était sortie d’affaire, alors que cela commençait à mal tourner!
    Si tous ceux qui entraient aux urgences pour cause de Covid savaient!! A diffuser autour de vous…

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