Si nous prenions un bain ensemble ?
Il y a longtemps que je voulais vous proposer de prendre… un bain. Prenons-le ensemble dans cette lettre !
Lorsque j’étais étudiant en médecine le docteur Julian dont je vous ai déjà parlé [1] prescrivait des bains à de nombreux patients et pour des indications très diverses.
Il était donc adepte de cette « Capillothérapie » dont nous allons parler aujourd’hui et dont j’ai pu juger, par moi-même, les résultats.
Il y a longtemps que je voulais vous proposer de prendre… un bain. Prenons-le ensemble dans cette lettre !
Lorsque j’étais étudiant en médecine le docteur Julian dont je vous ai déjà parlé [1] prescrivait des bains à de nombreux patients et pour des indications très diverses.
Il était donc adepte de cette « Capillothérapie » dont nous allons parler aujourd’hui et dont j’ai pu juger, par moi-même, les résultats.
Qu’est-ce qu’un « bain » en médecine ? Cela consiste très simplement à verser une formule pharmaceutique (« bain blanc », « bain jaune » [2], bain mixte, sels, je vais y revenir) dans l’eau de son bain.
Ces formules, certaines pharmacies parisiennes spécialisées dans l’homéopathie, la phytothérapie et les huiles essentielles les fabriquaient autrefois en « préparation magistrale ». Ce type de pharmacie n’existe quasiment plus aujourd’hui, ce qui nous contraint donc à passer par l’importation de ces « bains » qui proviennent de Russie et que vous devrez commander par Internet [3]. Certes, le prix est un peu élevé, mais il est de qualité bien supérieure aux « préparations magistrales » en pharmacie de jadis.
Avant de rentrer dans le détail de la formulation de ces bains et leur mode d’emploi, j’aimerais vous parler d’abord du docteur Salmanov.
Le médecin de Lénine
Le docteur Salmanov (certains écrivent « Salmanoff ») est né en 1875 en Russie, à Gomel [4] et est décédé en 1964. Il était diplômé des facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie. Il fut le médecin personnel de Lénine et dirigea à peu près toutes les cures thermales d’URSS. Il dut émigrer d’URSS parce qu’il n’adhérait pas au communisme. Par la suite il devint membre extraordinaire de l’Académie Royale de médecine d’Italie et il exerça à Paris.
Il s’inspira des travaux d’August Krogh qui reçut, en 1920, le prix Nobel de Médecine pour ses découvertes sur la régulation neuro-végétative des vaisseaux sanguins capillaires et leur capacité à se dilater et à se contracter réalisant ainsi un véritable drainage de l’organisme. Il est l’auteur d’un livre passionnant : Secrets et Sagesse du corps. Médecine des profondeurs (éditions La Table Ronde, 1958), dont on trouve encore quelques exemplaires d’occasion sur Amazon ou sur des marchés de livres d’occasion.
Le type de bain que je vous propose combine l’un des bains proposés par Salmanov dans le cadre de sa « Capillothérapie » et les actions des sels d’Epsom dont je reparlerai.
La Capillothérapie de Salmanov
Un capillaire est un vaisseau sanguin parfois aussi fin qu’un cheveu [5], souple et élastique. Les capillaires sont très nombreux et relient tous les réseaux sanguins, en formant des lits capillaires complexes. Dans les capillaires sanguins, la pression artérielle est très peu élevée. Les capillaires reliés aux veines et aux artères transportent les nutriments et notamment le glucose, et l’oxygène. Ils permettent des échanges métaboliques permanents au niveau des muscles, du foie, des poumons, des reins et du système nerveux.
Avec l’ensemble des vaisseaux sanguins, leur longueur est estimée à plus de 100 000 kilomètres.
Nous avons tous remarqué qu’en vieillissant notre circulation capillaire se détériore : nous ressentons plus facilement des fourmillements dans les extrémités du corps (paresthésies), nous avons plus fréquemment les extrémités froides, nous devenons plus frileux et notre circulation devient de plus en plus sensible aux changements de temps.
L’action de la « capillothérapie » s’exerce tant sur le système cardio-vasculaire, que sur les articulations, le psychisme et la vivacité intellectuelle. Plus de 600 études sur cette méthode ont été réalisées en Russie en 30 ans.
Il existe trois sortes de « bains de Salmanov » : le bain jaune, le bain blanc et le bain mixte qui combine les deux. L’huile essentielle de pin ou de mélèze (ou térébenthine naturelle [6]), combinée à l’hyperthermie provoquée par la chaleur du bain, induit la dilatation des capillaires périphériques et profonds, augmentant ainsi les débits coronaires, cérébraux et rénaux.
Le naturopathe Michel Dogna, bien connu des lecteurs de santé naturelle, décrit [7] les différents impacts de cette méthode et note :
- Que dès 1937, on a constaté l’action de régularisation des bains sur le rythme cardiaque, la dilatation des coronaires et le fait qu’ils pourraient diminuer de 30 % le risque d’infarctus. Il en est de même des complications vasculaires fréquentes du diabète que l’on nomme « microangiopathies » et qui peuvent toucher tant la circulation périphérique (nécrose des orteils, gangrènes post-diabétiques) que la circulation oculaire et la vue. Il semble logique que l’amélioration de la circulation sanguine en périphérie du cerveau puisse, aussi, accélérer la période de récupération consécutive à un AVC ;
- Que les bains peuvent augmenter la mobilité articulaire et d’une façon plus générale diminuer les douleurs de type arthrosique. De même ils peuvent améliorer la restauration du cartilage des disques intervertébraux. De nos jours, on tend à déconseiller d’emblée (sauf dans des cas très minoritaires d’atteinte nerveuse) les opérations pour hernies discales car on sait que le cartilage intervertébral a tendance à guérir spontanément. Ces bains pourraient accélérer la guérison ;
- Salmanov constatait leurs effets cicatrisants sur la peau, permettant rapidement d’arrêter une éruption chez des patients souffrant de furonculose, de psoriasis ;
- Salmanov notait également un effet « anti-cellulitique » qui se comprend aisément du fait de l’amélioration de la microcirculation sanguine mais aussi lymphatique ;
- L’amélioration de la circulation sanguine, combinée à l’action antiinfectieuse de la térébenthine naturelle peut également contribuer à la guérison d’une infection pulmonaire ou ORL et favoriser l’expectoration. Ces bains sont donc conseillés en cas de bronchite chronique ;
- Salmanov les conseille également en cas de prostatite, de difficultés érectiles ou de troubles du cycle menstruel.
Si vous désirez en savoir beaucoup plus sur Salmanov et ses théories, vous pouvez visionner la conférence de Fabien Moine publiée sur YouTube en février 2016 [8].
Bains blancs, jaunes ou mixtes : les bains « Capillar » ou « bains de Salmanov » [9]
Le bain jaune
Le bain jaune est une solution à base de ricinate de soude, d’oléine et d’essence de térébenthine naturelle de Sibérie, qui a tendance à faire baisser la tension artérielle.
Elle favorise une perte de poids durable (en plus d’un régime) et l’élimination de la cellulite. Ce type de bain est conseillé chez les personnes plus âgées ou fragiles ou celles qui ont tendance à souffrir d’hypertension artérielle. La couche de ricinate de soude et d’oléine, qui couvre toute la surface de l’eau dans la baignoire, augmente l’accumulation de chaleur par le corps et la dilatation capillaire [10]. Le soulagement articulaire se fait rapidement sentir ainsi qu’une dynamisation de tout l’organisme.
Le bain blanc
L’émulsion blanche a un effet plus violent et, de ce fait, on la déconseille chez les sujets âgés ou hypertendus car elle stimule les contractions rythmiques des capillaires, et fait monter la tension artérielle. Elle augmente les apports d’oxygène, favorise l’approfondissement de la respiration, diminue la rigidité musculaire et ligamentaire. De ce fait on la recommande pour la récupération des sportifs.
Le bain mixte
On peut parfaitement mélanger les deux solutions chez des personnes n’ayant pas de lourde pathologie et profiter ainsi des effets combinés des bains blancs et jaunes. Il existe aujourd’hui, en importation, des bains mixtes déjà préparés.
Les « bains de Salmanov » en pratique
Je vous conseille de commencer votre cure par trois bains par semaine pendant au moins trois semaines. Puis de continuer à entretenir les effets avec un à deux bains par semaine. Personnellement je prends un grand plaisir à pratiquer un « bain de Salmanov » après une journée de sport en plein air et particulièrement une journée de ski ou de randonnée. Je vous conseille de les faire en fin de journée.
Comment faire ?
Je verse au fond de la baignoire le contenu d’un gobelet fourni avec la bouteille de bain. Je commence à faire couler l’eau pas trop chaude, aux environs de 37-38 °C afin de pouvoir rentrer facilement dans la baignoire puis j’augmente la température en faisant couler l’eau la plus chaude possible afin de dépasser les 40 °C.
Essayez de rester dans le bain au moins vingt minutes.
En sortant, ne vous séchez pas, enveloppez-vous dans un peignoir et essayer de rester une heure sous la couette en transpirant. Vous profiterez ainsi des effets combinés de la sudation et de la vasodilatation capillaire. C’est un petit sauna à domicile !
Si vous avez des hémorroïdes ou les parties génitales sensibles, vous pouvez, avant de vous baigner passer une légère couche de crème pour vous protéger.
Exactement comme pour la pratique du sauna, n’hésitez pas à boire une grande quantité d’eau avant et après le bain.
Comment faire mieux encore ?
Le sel d’Epsom est un sulfate de magnésium naturel [11] qui se présente sous forme de petits cristaux blancs.
Il tient son nom commun de la station saline d’Epsom, en Angleterre.
Ses deux principaux composés, magnésium et sulfate sont très bien absorbés par la peau.
Il a pour principal effet :
- De vous détendre, de réduire les tensions musculaires et les crampes après un effort. Il est conseillé dans le cadre de la récupération du sportif ;
- De diminuer l’inflammation et les douleurs articulaires. Il est donc également conseillé en cas d’entorses ou de tendinites ;
- De contribuer à la reminéralisation de votre organisme et en particulier à sa recharge en magnésium et, de ce fait, diminuer votre sensibilité au stress et contribuer à la régulation du rythme cardiaque. Le bain en fin d’après-midi peut améliorer la qualité du sommeil ;
- Il peut contribuer à réguler la glycémie et constituer ainsi un complément naturel au traitement du diabète ;
- Quelques cuillères à soupe diluées dans une cuvette d’eau chaude peuvent réduire les douleurs d’une crise de goute ;
- Dans un bain, il réalise une forme de « gommage » naturel de l’ensemble du corps ;
- Mélangé à parts égales avec un après-shampoing naturel, il donne du volume à vos cheveux.
Si vous avez une écharde plantée dans un doigt, n’hésitez pas à tremper le doigt dans une solution de sels d’Epsom : l’écharde partira d’elle-même.
Le sel d’Epsom se présente sous forme d’une poudre blanche cristalline et ne coûte pratiquement rien. Je commande tout simplement celui que j’utilise sur Amazon. Un sac de 5 kilos coûte environ 9 Euros.
Personnellement je n’utilise pas les sels d’Epsom par voie orale bien que ses propriétés soient très proches de celles du chlorure de magnésium. On y retrouvera, alors, ses contre-indications classiques : troubles digestifs, diarrhées, hypertension…
Le bain que, finalement, je vous conseille
Je vous recommanderais finalement d’associer les deux méthodes, au même rythme que celui que je vous ai proposé pour les bains « Capillar ».
C’est à dire trois bains par semaine à raison d’un bain tous les deux jours, avec une dose de bain jaune ou de bain blanc, ou une demie dose de chaque, selon vos choix et, lorsque vous commencez à faire couler l’eau dans la baignoire, ajoutez deux bonnes poignées de sel d’Epsom.
Un complément de choix pour prolonger l’action des bains : la taxifoline ou dihydroquercétine
Comme le composant des « bains de Salmanov », la taxifoline ou dihydroquercétine est extraite du bois de mélèze Sibérien sauvage. C’est un bio-flavonoïde [12] puissamment antioxydant dont la structure moléculaire ressemble à celle de la quercétine, un autre flavonoïde que je vous conseille de consommer régulièrement en croquant au moins une bonne pomme « bio » par jour.
Le « Capillar » sous forme de comprimés peut « régénérer tout l’organisme, en l’aidant à mieux s’oxygéner » affirme Michel Dogna [14]. Il précise que, dans les années 1930, en cas de suspicion d’infarctus ou de coronaropathie aigüe, « dans certains hôpitaux de Russie le premier geste avant la prise en compte médicale des patients était de leur faire prendre 8 à 12 comprimés de « Capillar » ».
Personnellement j’ai constaté son action de régulation sur la tension artérielle et les arythmies cardiaques, les troubles de la circulation veineuse ou artérielle comme les fourmillements (paresthésies) et les troubles veineux comme les varices, et la récupération musculaire après le sport.
J’ai également remarqué, au bout d’une utilisation d’un peu plus d’une semaine, une plus grande clarté d’esprit et une amélioration de la mémoire.
Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que le cerveau est l’organe qui consomme le plus d’oxygène.
Je conseille, habituellement de commencer par prendre, la première semaine, un comprimé matin et soir, la seconde deux comprimés, puis trois comprimés matin et soir en cures d’au moins trois mois ou trois semaines par mois.
Une boîte de 200 comprimés de « Capillar » coûte une trentaine d’euros [15]. Selon ce protocole vous en avez pour presque deux mois.
Et pour prolonger l’action des bains !
Le « baume Capillar » [16] « contient de la térébenthine naturelle apportant localement des bioflavonoïdes [17] et, comme dans les « bains de Salmanov », du camphre, de l’huile de menthe et de pin », explique très bien Michel Dogna sur son site [18].
Je l’ai personnellement proposé avec succès chez les personnes ayant des troubles veineux se manifestant la plupart du temps par une sensation de jambes lourdes, des œdèmes ou des varicosités.
Il peut aussi être appliqué sur le visage pour tonifier la peau et je le conseille également en cas de douleurs musculaires après effort, ou en cas de voyage en avion.
Michel Dogna a testé le « baume Capillar » « en application locale sur des grosses douleurs musculaires post traumatiques annonçant les changements de temps. L’effet est extraordinaire le soulagement est obtenu dans les 2 minutes qui suivent ».
Il ne faut jamais appliquer le baume Capillar sur une peau endommagée ou des plaies ouvertes ou chez des enfants de moins de 3 ans. En cas de contact avec les yeux, rincer abondamment avec de l’eau. Ne pas utiliser en cas d’hypersensibilité à tout composant du baume.
Pour une optimisation globale de votre circulation artérielle !
Si vous désirez considérablement améliorer votre circulation capillaire, et secondairement l’ensemble de votre circulation vasculaire, et profiter des conséquences de cette amélioration, n’hésitez pas à réaliser régulièrement chez vous une combinaison de bains « Capillar » avec des sels d’Epsom et à faire des cures de taxifoline (ou dihydroquercétine) en comprimés.
Vous améliorerez, ainsi, globalement, votre santé et plus particulièrement tous les éléments liés à une bonne circulation vasculaire : cœur, cerveau, muscles…
C’est un moyen simple et relativement peu coûteux de réaliser à domicile des cures de revitalisation.
Je vous souhaite de très bons résultats.
Docteur Dominique Rueff
Bonjour Monsieur , oui Mr Salmanov avait tout compris du bienfait des bains , mais……comment fait- on avec une douche? Ce qui est beaucoup plus écologique qu’une baignoire.
J’apprécie la teneur de vos articles et de vos conseils, merci.
J’ai acheté sur internet une baignoire pliante pour adulte. Un peu contraignant et long pour vidanger . Je la pose sur mon bac douche à l’italienne. Résultats rapides
Je comprends bien les avantages du sel d’Epsom mais où le trouve t-on à 6,00e les 5 kg ?
Merci pour vos précieux conseils
René Bert
Peut on remplacer du kardegic que l on m a prescrit pour améliorer la dernière circulation cérébrale qui se termine en escargot par des comprimés de capillar? Merci.me tron
3 bains par semaine, bonjour le gaspillage d’eau !!!
Bonjour
Un grand merci pour votre lettre d’information.
Je viens témoigner que la prise de Capillar en comprimés s’avère très efficace, cependant étant moi-même sujet à l’hypotension cela m’a occasionné au bout de 2 mois une sévère chute de tension. J’ai dû à regret abandonner la prise de Capillar.
A ce jour je cherche encore un traitement naturel vraiment aussi efficace pour les varices, varicosités et maladie de Raynaud ( pas sûre que ce soit la bonne orthographe)
Bonjour
Votre article est super
Par contre le capillar en comprimés contient beaucoup de sorbitol ce qui a déclenché des diarrhées et maux de ventre chez moi et chez d autres personnrs que je connais quand on en fait part au vendeur en France il dit qu il n a jamais entendu parler de ça!!!
En ce qui concerne le baume capillar il est bourré de parabenes cancérigènes et n a absolument pas l action des bains..Quant au prix des bains il est 3 fois plus cher qu en Russie où je me les procure..on se demande qui se prend des commissions et fait comme ça augmenter les prix.A raison de 3 bains par personne un français moyen ne peut pas se les payer!Tout cela méritait d être dit pour prévenir les gens car c est inadmissible!
Bonjoir
Vous vous procurez les bains à moins chers en Russie? Possible de partager le plan?
Merci
Sara
Bonjour, comment faites vous pour vous procurer les bains en russie
Bonjour monsieur,
Je suis tout à fait déterminée à faire cette pratique, mais j’ai une douche. Comment faire ?
Merci pour votre réponse
Merci Docteur pour cet article intéressant.
Quid de la quercetine et de la taxifoline pour les patients atteints d’un cancer suivant une chimio (je pense au Taxotere) ou une hormonotherapie (je pense au Tamoxifene)?
Y a t il des risques d’effets antagonistes ou iatrogeniques ?
Merci
Bonjour, Merci pour cet article très intéressant. J’ai la chance d’avoir un spa proche de chez moi et j’y vais 2 à 3 fois par semaine. 15 minutes de Sauna chaud sec, 15 secondes de bain froid et 15 minutes de repos (2 parcours à chaque visite). L’effet de cette façon de faire est-il bénéfique et comparable aux bienfaits des bains dont vous parlez dans votre article?
Merci d’avance pour votre réponse.
Sylvie
Bonjour, et merci pour cet article très intéressant. La baignoire a disparu de bien des logement. Peut-on se contenter d’un bai de pieds ? Ceux-ci semblent assez réceptifs par exemple pour les sels d’Epsom, les bienfaits seraient-ils les mêmes pour les bains jaunes et blancs? Merci d’avance
Bonjour,
On m’a toujours dit qu’il fallait éviter les bains chauds, sauna etc en cas d’insuffisance veineuse et surtout si on a déjà fait une phlébite?
Merci d’avance
Cordialemen,t
Bonjour,
J’ai fait ces bains il y a 4 ou 5 ans et je me suis aperçue que ça avait accentué mes varices et varicosités.
Je savais que les bains chauds n’étaient pas recommandés dans ces cas-là, mais comme j’ai lu le livre du Dr Salmanoff , j’ai essayé mais ça ne m’a pas réussi.
Cordialement
le baume kapillar a été reformulé, il ne contient plus de parabens. il peut remplacer les bains, sinon il reste le bain de pieds avec une cuvette
Je voulais juste ajouter à la bibliographie du Dr A.Salmanov qu’il repose au cimetière de Mareil-Marly dans les Yvelines.
Adepte depuis 5 années des bains Salmanov je me les procurais en Russie ; mon correspondant Russe ne répond plus
Je serai interessé par une autre source labo sibérien qui garantit des produits de qualité
Mille merci