Cancer : des combattants joyeux !
Lorsque j’ai rencontré Jérôme Rivkine lors d’une conférence, j’ai su d’emblée qu’il allait m’aider à savoir mieux répondre à de nombreuses questions.
Né en 1975, Jérôme Rivkine [1] a exercé dans des cabinets d’avocats d’affaires à Paris et à Tokyo.
Il a publié [2], fin 2016, Les 5 Saisons : Sortir du cancer, Parcours Initiatique d’un malade bien portant (éditions L’Harmattan, 2016).
Son livre est le récit d’un père de famille dont la vie bascule, un beau matin, avant d’avoir 30 ans, et sans prévenir, lorsqu’il apprend qu’il est atteint d’un cancer incurable et que les médecins lui donnent, au plus, six à huit mois de vie.
J’ai immédiatement ressenti qu’il était « joyeux », parce que la joie, ou plutôt le retour à la joie de vivre, faisaient intégralement partie de sa thérapie.
Comme il le précise au dos de son livre : « Mettant de côté les pronostics, il va alors s’interroger sur la maladie, sur lui-même, son entourage, puis, petit à petit, remonter l’échelle, réapprendre à vivre, pour tirer de cette défaillance une force de vie ».
C’est cette même force que j’ai ressentie en le rencontrant, alors que plein de questions me venaient à l’esprit :
- Comment réagit-on à l’annonce d’une telle nouvelle à laquelle on n’est absolument pas préparé ?
- Comment accepte-t-on telle ou telle option thérapeutique ?
- Comment gérer les brusques changements familiaux et professionnels et toutes leurs conséquences ?
- Comment aller au-delà de la thérapie strictement hospitalière et profiter d’une médecine plus globale, qu’il s’agisse de mode de vie, de nutrition, d’homéopathie, de psychothérapie et surtout de remise en question de soi ?
- Comment gère-t-on ses interrogations, son anxiété et son angoisse, finalement bien légitimes ?
Philosophe et directeur de recherche au CNRS, mais surtout « patient pensant », suivi pour un cancer du pancréas, il s’interroge et émet quelques doutes sur les vertus du dolorisme [4].
Interviewé [5] le jeudi 26 janvier 2017 sur France 5 au cours de l’émission « La Grande Librairie » il précise que, s’il est légitime de chercher des causes à la maladie, il reste inutile d’en chercher les raisons !
« Merci », oserais-je lui dire. Voilà qui répond à bien des angoisses et des questions. C’est déjà difficile d’être malade, si en plus on doit se trouver des raisons de s’auto-accuser ou de se culpabiliser, c’est alors infernal !
Le mot est lâché : comment ne pas rentrer dans cet enfer ?
Durant l’entretien que nous avons eu et dans son livre, Jérôme répond :
« La cause ? La connaît-on ?
– Pas de bol (répond le médecin), comme on m’aurait annoncé le prix d’un timbre à La Poste. »
Tout le monde va logiquement chercher des causes au cancer, héréditaires, génétiques, familiales, psycho-généalogiques [6], transgénérationnelles [7], des erreurs dans son mode de vie, son mode de pensée et pourquoi pas… sa morale.
J’ai souvent eu envie de répondre que ces causes étaient, toutes à la fois, fausses et vraies. Affirmer la prépondérance de l’une ou de l’autre m’a toujours rebuté, autant, d’ailleurs, que de proférer une statistique (ou une médiane) de survie.
Les statistiques ne doivent servir que les scientifiques. Et certainement pas les patients, car elles n’ont aucune valeur individuelle. Jérôme, dans son livre, développe ce problème fondamental et le met à bas en développant trois approches pour finalement conclure que « nous serons tous amenés à mourir un jour ou l’autre, d’une manière ou d’une autre, mais en aucun cas nous n’aurons de maîtrise sur les modalités ou la date de notre départ… ».
C’est un risque que nous courons tous dès la première rencontre des deux gamètes de nos parents, auquel s’ajoute dès que nous avons l’âge et la conscience de le faire, ce que Freud appelait notre « désir inconscient d’éternité ».
« Bien se soigner », ce n’est pas si simple !
« Une consultation d’annonce de maladie réussie, point de départ de la phase de soins subséquente, nécessite donc une entente préalable basée sur les valeurs d’échange et de volonté de compréhension partagée, sans jugement de valeur relatif. Cette transculturalité favorise une meilleure appréhension de la situation et une plus forte adhérence aux protocoles proposés. » [8] (c’est moi qui souligne).
Par la suite, Jérôme Rivkine nous raconte son progressif changement de statut et son intégration à ce changement.
Il se définit très justement comme « en rémission » et explique le sens de ce mot qui ne veut pas dire beaucoup plus qu’une annonce statistique : ne sommes-nous pas tous en rémission ?
Je lui demandais alors quelle était, selon lui, la part de telle ou telle thérapie dans son évolution plus que favorable : chimiothérapie [9], changement de mode de vie, psychothérapie, alimentation, exercice physique… ?
Il me répondit que c’était totalement impossible à déterminer a posteriori. Ce qui me conduit à confirmer qu’il faut tout tenter d’emblée. Tout tenter en fonction de ses savoirs et de ses pouvoirs. Tout tenter en fonction de ses désirs. Et même tout tenter pour augmenter ses désirs.
Je voudrais insister sur deux courants qui se détachent d’emblée : la psychothérapie et l’exercice physique.
Un vrai changement : se prendre en main pour guérir
Dans son parcours hospitalier, Jérôme rencontra d’abord une psychothérapeute qui l’invita à écrire à l’enfant qu’il était. Cette simple décision qui pourra sembler rudimentaire à certains peut avoir beaucoup d’impact : nous permettre de mieux nous assumer et de faire des choix, ceux de respecter nos vieilles promesses, d’être ou de redevenir pleinement celle ou celui que nous rêvions d’être. D’être acteur de sa vie aussi, remettre en question sa propre frénésie d’occupation et de consommation et faire de chaque jour une fête.
Il souligne l’importance de comprendre sa maladie afin de ne pas seulement subir, la subir [10].
Il mesure la place, le rôle et la difficulté de l’accompagnant, de l’environnement proche qui peut nous surprendre tant par ses réactions négatives que positives.
Enfin Jérôme a rencontré un psychanalyste qu’il a surnommé « Yoda ». Celui-ci a insisté sur la nécessité absolue de prendre soin de soi et d’avoir confiance, « se faire plaisir, se faire du bien physiquement, moralement, pour de bon, au moyen de tous petits riens, pour ne pas se perdre, pour rester dans la vie », et qui finit par lui dire :
« On va gagner ! »
Il l’invita à « parler de lui », à se considérer, à accepter son identité, son enfance, son passé et le passé de ses parents dans lequel il ne voyait pourtant aucun accroc, car « quand tout va bien… tout va bien, on n’a besoin de rien. »
Jérôme a également rencontré Pierre, un médecin homéopathe qui l’a poussé à se réconcilier avec les autres comme avec lui-même, sa nourriture, ses possibles déficiences nutritionnelles, ses chakras, ses centres d’énergie…
Il lui a conseillé le citron, les antioxydants, le tofu, d’aller respirer autant que possible l’air pur au-dessus de 2 000 mètres, « de jeûner, de temps à autre une journée par semaine pour nettoyer, purifier mon corps de boire du vin naturel, du thé vert, beaucoup d’eau minérale, pas celle du robinet très polluée ».
Il s’est élevé contre les prévisions pessimistes de certains médecins et a fini par rejoindre le sage Yoda en ajoutant :
« On va guérir, ne t’inquiète pas ! »
Sport et santé
En écoutant Jérôme, j’ai senti que nous avions une connaissance commune : le cancérologue et radiothérapeute Thierry Bouillet. J’avais connu Thierry lors de mon passage dans le service du Professeur Lucien Israël [11] en y accompagnant mon épouse Thérèse. Son charisme m’avait convaincu de le suivre à l’hôpital Avicenne quelques années, pour y chercher ce qui, à l’époque, était le premier diplôme post-universitaire de cancérologie médicale.
Thierry Bouillet, à la fin des années 1990, fut cofondateur, avec le sportif Jean-Marc Descotes, de la « CAMI Sport & Cancer » [12].
Au départ, l’idée était simple : il s’agissait de proposer un moyen de réduire la fatigue chronique et d’éviter la dépression chez les cancéreux en traitement. Les résultats furent au-delà de toute attente et la CAMI peut, aujourd’hui, afficher sur son site tous les bénéfices d’une pratique sportive encadrée relativement intense et régulière :
- mieux tolérer les effets secondaires ;
- lutter contre la fatigue ;
- gérer la douleur ;
- entretenir ou recouvrer une agilité physique ;
- renforcer, assouplir ses muscles et ses articulations ;
- lutter contre le stress ;
- diminuer l’anxiété ;
- favoriser l’observance des traitements ;
- améliorer la qualité de vie ;
- diminuer le risque de récidive.
Je vous invite à visiter ce site : la CAMI propose dans de multiples régions des cours en ville et à l’hôpital et son site vous permet de trouver les contacts les plus près de votre domicile.
Quant aux bienfaits thérapeutiques de l’activité physique, de nombreux articles et publications internationales [13] ne permettent plus d’en douter. Évoquons ce fameux « Médiété® » [14] qui tend à faire reprendre aux patients blessés et manquant de confiance en eux des sensations nouvelles comme : se grandir, se tenir, s’étirer, se déverrouiller, se renforcer, inspirer, souffler…
Les pratiques sont diverses : elles vont du « Mediété® » au karaté, à la danse, à la course à pied, au tai-chi, au yoga, à la marche nordique, la natation ou l’escrime…
En décembre 2012, Thierry Bouillet m’a fait l’amitié de présenter un travail au sein de l’ADNO [15] qui avait été très apprécié et applaudi.
Depuis cette époque, les données et les résultats n’ont cessé d’affluer. Il est très probable qu’une activité physique a un effet plus profond sur le cancer, aussi intense que le permettent l’âge, les conditions personnelles et l’évolution de la maladie et de ses traitements. Elle augmente l’oxygénation, diminuant la surcharge pondérale, l’insulinorésistance et donc le métabolisme de l’insuline, facteur de croissance de nombreux cancers.
J’en viens à regretter que l’on ne puisse avoir un accès facile à la CAMI dans toutes les régions de France, et qu’il faille être malade ou l’avoir été pour y adhérer.
Je voudrais clôturer cette lettre avec les travaux du professeur Patrizia Paterlini-Bréchot, récemment exposés dans un livre Tuer le cancer (éditions Stock, 2016) [16].
Le saviez-vous ? Une simple prise de sang permet de trouver dans notre sang une seule cellule cancéreuse et donc les prémisses d’un cancer
Le docteur Patrizia Paterlini-Bréchot est chercheuse en biologie cellulaire et mène depuis plus de vingt ans une quête scientifique ambitieuse [17] : « traquer le cancer en isolant, au sein du sang circulant, les cellules cancéreuses qui, avant les premiers symptômes, signent la présence d’un processus malin en formation. C’est une quête menée dans l’espace de la recherche publique française », au sein de l’Inserm [18].
Ce test dénommé ISET pour « Isolation by Size of Tumor cells / Trophoblastic cells » est aujourd’hui commercialisé [19] et coûte 436 €, que L’Assurance Maladie ne rembourse pas, ce qui ne manquera pas de faire polémique à propos de « la médecine à deux vitesses ».
Le test a été validé, à Paris et à Nice, par le suivi en parallèle et le Pet-Scan, de patients atteints de cancers du poumon.
Interviewée dans l’émission de France 5 que j’ai déjà citée [20], Patrizia ne cache pas que son questionnement personnel était à l’origine de sa longue recherche.
Connaître l’existence de « sa première cellule cancéreuse » ouvre sur des horizons nouveaux. N’oublions pas qu’une tumeur pratiquement indétectable de 1 millimètre de diamètre contient déjà plusieurs millions de cellules. Et que dans une grande majorité de cas, le temps estimé pour visualiser les premiers signes de la maladie est de plusieurs années, ce qui laisserait, au moins en théorie, le temps d’intervenir préventivement et beaucoup plus activement : il est plus facile de tuer quelques cellules que des millions.
Connaître l’existence de cette cellule, c’est une motivation supplémentaire, s’il en fallait une, pour essayer de modifier son terrain et ses défenses personnelles contre cette maladie.
Les pistes sont bien connues des lecteurs de Santé Nature Innovation. Une lettre de Jean-Marc Dupuis du 28 janvier 2014 avance de multiples propositions, et la liste n’est pas exhaustive. Notre alimentation et notre mode de vie sont-ils cancérogènes ? Quelle part donner aux déséquilibres en nutriments et micronutriments, vitamines, minéraux, enzymes, antioxydants, fibres… des fruits et légumes verts et colorés ? Quelle est celle de l’oxygénation [21], des excès d’acides gras trans et de modes de cuisson, de polluants, d’alcool, de tabac, de traces d’hormones dans notre environnement ? Quelle part espérer de l’efficacité de certaines thérapies dites « alternatives » [22], de l’oxygénation, donc de la respiration, de la relaxation, pourquoi pas de la méditation, ou à l’opposé, du sport qui est maintenant prescrit sur ordonnance [23] ?
Les publications scientifiques, nous l’avons vu, ne manquent pas sur ce dernier sujet.
Mais encore :
Quelle efficacité attendre des jeûnes réguliers, courts, ou des régimes plus prolongés, notamment du régime cétogène préconisé par notre ami Laurent Schwartz [24], en mesure de réduire les taux d’insuline circulante reconnus comme un facteur de croissance de nombreux cancers, et des régimes dits « paléolithiques » ou « anti-inflammatoires », ou encore des modifications du microbiote et de la perméabilité intestinale ?
Quelle part donner à certaines supplémentations spécifiques comme celle en coenzyme Q10, ou plutôt en ubiquinone [25], en acide citrique et en acide lipoïque, qui renforcent l’action du régime cétogène, en curcuma [26], dont les vertus anticancéreuses font l’objet de nombreuses publications ?
Devons-nous ou non alcaliniser notre terrain, comme le préconisait le docteur Kousmine, et par quels moyens : minéraux, bicarbonate de soude, enzymes… ?
Enfin, devrions-nous nous pencher un peu plus sur les propositions « d’éradication préventive du cancer » selon les travaux du docteur André Gernez, comme nous le propose le blog Médiapart [27] ou celui du docteur Jacques Lacaze [28] ?
On aimerait tellement, dans ce domaine, rencontrer une « Patrizia » qui nous permettrait de mieux valider toutes ces propositions et, surtout, de les hiérarchiser.
S’il nous fallait attendre des preuves pour essayer d’améliorer son traitement, on ne ferait rien ou pas grand-chose.
J’en reviens au questionnement à propos de l’intérêt des valeurs statistiques quant à son espérance personnelle de vie (ou de santé).
Pourquoi se priver de telle ou telle intervention dans la mesure où elle ne risque pas de contrarier un traitement considéré comme essentiel, ce qui suppose, bien évidemment que l’on puisse en discuter librement avec son cancérologue ?
Qu’en penserait « Pierre », ce médecin que Jérôme Rivkine a rencontré dans sa recherche et son parcours « de santé » ?
Devenons ou redevenons non seulement acteur de notre bien-être, mais réalisateur de notre vie en valorisant notre Eros (plutôt que notre Thanatos) !
Croyons-y !
Docteur Dominique Rueff
Super info/analyse !!! Un grand merci au Dr. RUEFF. Je suis moi même atteinte d’un cancer du sein et actuellement en traitement par radiothérapie. Bien que l’équipe médicale et para médicale soit hyper sympa, il n’empêche pas moins que bien des gens, peut-être inconsiemment, sont loin de soutenir les « cancereux » !!! On se sent vraiment seul avec ses questions. Merci
Bonjour
Quelle est la qualité de l’eau filtrée par les réfrigérateur américain ?
Reste-elle polluée par les antibiotiques et autres produits toxiques comme l’eau du robinet ?
Ne serai t il pas plus age de s’en tenir aux études qui apportent un bénéfice sur le cancer que de donner toujours l’exemple de quelqu’un qui a écrit un livre sur sa propre histoire avec le cancer qui n’est en fait qu’une etude de cas et qui n’a pas de valeur pour les autres. Ils existe de nombreuse personne avec le même diagnostique et qui n’ont pas forcement suivi la même voie et qui sont encore parmi nous aujourd’hui. C’est un peu culpabilisant est toujours la meme rengaine. Et heureuse ment ils n’ecrivent pas tous des livres (on deja beaucoup de chose a lire avec toutes ces news letter).
De plus a chercher la première cellules cancereuse ressemble a ce qui a été fait avec le diabete en diminuant les taux de 2,2 a 2 on a reussi a doubler le nombre de diabetique. Vont ils mieux, je ne crois pas. c’est juste que lorsque qu’on cherche, on trouve. Mais cette premiere cellule cancereuse dans le sang ce qui serai interessant de connaitre c’est combien de fois apres il s’avère qu’elle marque la croissance d’un cancer???? a grande échelle, elle n’est peut être marqueur que de très peu de cas réel.
Enfin voila mon sentiments écrire pour informer et faire avancer les choses c’est bien, pour nous faire flipper et vendre des cures ou des compléments ou autre ça l’est moins.
cordialement
bonsoir
je suis d’accord, tous les cancers débutants n’évoluent pas forcément dramatiquement
il faudrait connaitre à partir de quels critères les cellules circulantes sont une vraie alerte
Suite a un article sur la prise de sang , j’avais fait la demande de documentation . J’ai donné a mon médecin les photocopies pour qu’il les consultent .Je suis allée le voir quelques mois plus tard , il m’a dit que si s’était possible il serait au courant .!….J’ai 2 tumeurs cancéreuses au sein gauche depuis 4 ans j’ai refuser l’ablation et la chimio ,Je suis vos conseils !!!pas toujours et pas tous !!!!pour la façon de mieux vivre. La maladie évolue très lentement , je fais les examens radios , mamo ,écho ,synti ,tous les ans .
J ai été opérée d’un cancer de l utérus en juillet 2016 j ai eu des douleurs affreuses dans le bas du dos en octobre 2016 j ai fait une prise de sang ISET le 1 décembre 2016 et j ai eu le résultat le 5 janvier 2017!!!!!!! Le test était négatif pas une cellule cancéreuse dans le sang !!! Fin janvier l IRM a montré un envahissement du bassin par des amas de cellules cancéreuses aujourhuivje suis en rémission parce que j’ai tout tenté pour guérir tout ce dont vous parlez dans votre lettre sauf la bonne relation avec l oncologue et la psychothérapie
Ja i de grosses séquelles un remaniement osseux très important comme dit l oncologue…
Je me suis appuyée sur ma famille nos recherches incessantes et de conseils avisés d un groupe de parole de survivors aux USA ou travaille la fille
Sur pratiquement personne ici exceptés les livres du docteur Dumas ( être acteur de son cancer) et du docteur d Adamo (lutter contre le cancer je suis O’non sécréteur statut non reconnu en France)
Qui m ont beaucoup aidée
J avais fait fait avant la chimio le test RGCC qui m a permis de savoir quelle chimio serait la plus efficace pour moi je ne comprends pas que l on ne fasse pas systématiquement ce test qui engendrerait beaucoup d économies en termes financiers et en vies humaines
Merci pour ces si gentils mots ❤️my customer essay
NOUS SOMMES TRES PROCHE DU DENOUEMENT DE
cette problématique du cancer (ce qui est à proprement
parlé un scandale sanitaire au regard des sommes colossales
englouties dans d’ aléatoires recherches et des résultats très
médiocres depuis 1960).
il faudrait vraiment se réveiller et sortir de l’ inféodation aux
parcours mercantiles, alors que la solution est à portée de
main. Rendez publique le traitement métabolique associé
au régime cétogène et à la prise de dioxyde de chlore.
http://guerir-du-cancer.fr/conference-le-cancer-une-percee-probable-mars-2018-saint-amarin/
Ton article me parle beaucoup ! Je souffre de colopathie due à mon endométriose et à mon syndrome des ovaires polykystiques. Jai été végétarienne pendant presque 10 ans, mais je souffrais de telles douleurs que jai du changer complètement dalimentation sur les conseils de spécialistes. Je suis passée dun régime healthy classique à un régime cétogène, qui me semblait complètement contre nature puisquil faut inverser le ration lipides/glucides dune alimentation normale tout en conservant une bonne portion de protéines. Jai donc du me remettre à manger de la viande. Après 6 mois à ce régime là, je nai plus aucune douleur ni inconfort, que ce soit au niveau des intestins, des changements dhumeurs dus à la thyroïde ou des douleurs menstruelles. Maintenant, tout lenjeu pour moi est de supprimer de nouveau la chaire animale par des aliments ayant suffisamment de protéines (et sans glucide donc) pour garder le régime qui me va tout en respectant mes valeurs.
Sans compétence, je ne puis rien apporter. Je veux simplement vous dire merci pour cette dernière lettre et celles d’avant aussi.
Cet article est très intéressant mais je trouve qu’il n’est pas assez concret, il nous faudrait plus de précisions sur les actions efficaces autant pour la détection que pour le suivi du cancer
Article intelligent, profond et clair, on aimerait en rencontrer au moins un seul dans le mois qui rachète l’incurie, l’imbécillité, le gout du sensationnel et du rêve de l’immense majorité des autres. Encore bravo, encore merci pour ceux qui vous liront et dont la souffrance aspire à la profondeur et à la bienveillance.
Le test ISET est cher et non remboursé; l’analyse POLYAMINES est remboursée intégralement: pourquoi ne pas même l’évoquer ?
C’est un article très intéressant j’ai eu moi-même un cancert du sein et ce qui important c’est surtout d’être bien entouré famille et amie ainsi q l’équipe médical il faut combattre et garder lespoir grâce ades gens comme vous qui nous fond partager des article de santé très intéressant et utile grâce aux personnes qui effectuent des recherches nous arriverons à avoir le courage et lespoir merçi de tout cœur je souhaite la guérison a tous les malades quelque soient leur maladie